Warning: Cannot modify header information - headers already sent by (output started at /home/roseych/roseyconcerthall.ch/index.php:43) in /home/roseych/roseyconcerthall.ch/wp-content/plugins/the-events-calendar/src/Tribe/Views/V2/iCalendar/iCalendar_Handler.php on line 257

Warning: Cannot modify header information - headers already sent by (output started at /home/roseych/roseyconcerthall.ch/index.php:43) in /home/roseych/roseyconcerthall.ch/wp-content/plugins/the-events-calendar/src/Tribe/iCal.php on line 475

Warning: Cannot modify header information - headers already sent by (output started at /home/roseych/roseyconcerthall.ch/index.php:43) in /home/roseych/roseyconcerthall.ch/wp-content/plugins/the-events-calendar/src/Tribe/iCal.php on line 476

Warning: Cannot modify header information - headers already sent by (output started at /home/roseych/roseyconcerthall.ch/index.php:43) in /home/roseych/roseyconcerthall.ch/wp-content/plugins/the-events-calendar/src/Tribe/iCal.php on line 478
BEGIN:VCALENDAR VERSION:2.0 PRODID:-//Rosey Concert Hall - ECPv6.3.3.1//NONSGML v1.0//EN CALSCALE:GREGORIAN METHOD:PUBLISH X-WR-CALNAME:Rosey Concert Hall X-ORIGINAL-URL:https://www.roseyconcerthall.ch X-WR-CALDESC:évènements pour Rosey Concert Hall REFRESH-INTERVAL;VALUE=DURATION:PT1H X-Robots-Tag:noindex X-PUBLISHED-TTL:PT1H BEGIN:VTIMEZONE TZID:Europe/Helsinki BEGIN:DAYLIGHT TZOFFSETFROM:+0200 TZOFFSETTO:+0300 TZNAME:EEST DTSTART:20220327T010000 END:DAYLIGHT BEGIN:STANDARD TZOFFSETFROM:+0300 TZOFFSETTO:+0200 TZNAME:EET DTSTART:20221030T010000 END:STANDARD BEGIN:DAYLIGHT TZOFFSETFROM:+0200 TZOFFSETTO:+0300 TZNAME:EEST DTSTART:20230326T010000 END:DAYLIGHT BEGIN:STANDARD TZOFFSETFROM:+0300 TZOFFSETTO:+0200 TZNAME:EET DTSTART:20231029T010000 END:STANDARD END:VTIMEZONE BEGIN:VEVENT DTSTART;TZID=Europe/Helsinki:20230421T201500 DTEND;TZID=Europe/Helsinki:20230421T212500 DTSTAMP:20250502T174048 CREATED:20220620T131057Z LAST-MODIFIED:20230421T180501Z UID:10000241-1682108100-1682112300@www.roseyconcerthall.ch SUMMARY:ORCHESTRE DE LA SUISSE ROMANDE DESCRIPTION:ORCHESTRE DE LA SUISSE ROMANDE\nDirection : Jonathan Nott\nSoprano Elizabeth Watss \nMezzo-Soprano Hanna Hipp \nTénor Saimir Pirgu \nBaryton Daniel Schmutzhard \nChoeur Zürcher Sing-Akademie \nChef de choeur Florian Helgath \n\nLa sublime 9ème Symphonie de Beethoven sera l’une des grandes productions au Rosey Concert Hall ! Nous sommes très heureux de retrouver « notre » orchestre\, l’OSR avec le chœur de la Zürcher Sing-Akademie pour cette Ode à la Joie inoubliable. \nMarie-Noëlle Tirogalas \n\n« Avec le généreux soutien d’Aline Foriel-Destezet »\n\nPROGRAMME\nSymphonie Nº 9\nEn ré mineur op. 125 avec un chœur final sur ‘l’Ode à la joie’ de Schiller. \n  \n \n© Niels Ackermann \n\nOSR: Orchestre de la Suisse Romande\nActeur culturel incontournable de la Suisse romande\, l’OSR est le premier orchestre symphonique de la région ainsi que l’orchestre principal du Grand Théâtre de Genève. Composé de 112 musiciens\, l’OSR compte aujourd’hui parmi les grands orchestres internationaux. Fondé en 1918 par Ernest Ansermet\, l’OSR rayonne à la fois en Suisse romande\, ainsi qu’à l’international. Il perpétue aujourd’hui ses valeurs d’ouverture\, de partage et de création. L’OSR assume également ses missions de médiation culturelle\, de pédagogie et de valorisation de son patrimoine par de nombreuses actions au sein de la Cité. Mêlant styles et époques et à l’aube de son deuxième siècle d’existence\, l’OSR se veut résolument être un passeur de culture et d’émotions. \n\nJonathan Nott\nTout au long de sa carrière riche et variée\, il a dirigé la majorité des orchestres et formations contemporaines renommés de notre époque ainsi qu’un nombre impressionnant de solistes\, avec lesquels il a enregistré pour les firmes TUDOR\, SONY\, le label japonais OCTAVIA et plus récemment en collaboration avec l’OSR\, en « multi-channel 9.1 Auro 3D »\, pour PENTATONE\, avec des œuvres de Claude Debussy\, Richard Strauss et György Ligeti reflétant l’héritage musical français\, allemand et contemporain de l’orchestre\, paru en 2018. Un deuxième enregistrement comprenant un programme symphonique autour du thème de « Pelléas et Mélisande » avec des œuvres de Schönberg et une nouvelle suite symphonique de Jonathan Nott basée sur l’opéra de Debussy\, publié fin 2021 fait l’objet de nombreux éloges et est acclamé par la critique internationale; il a récemment reçu le Preis der deutschen Schallplattenkritik. La publication d’un troisième CD avec la participation du pianiste Francesco Piemontesi autour des œuvres de Ravel\, Schoenberg et Messiaen est sorti le 1er juillet 2022. \nUne des préoccupations principales de Jonathan Nott est la transmission de son expérience et le soutien aux générations futures. L’inspiration qu’il éveille chez les jeunes musicien-ne-s s’affirme par son rôle au sein de la Junge Deutsche Philharmonie où il aura été chef principal pour une durée de dix années d’ici la fin de son mandat en 2024\, ainsi qu’auprès du Gustav Mahler Jugend Orchester où il est régulièrement invité à diriger. Par ailleurs\, il a initié le Gustav Mahler Conducting Competition\, conçue pour encourager et soutenir les chef-fe-s mondialement reconnus de demain. \nActuellement il consacre son temps libre à la réalisation d’un ouvrage multimédia autour des symphonies de Mahler\, faisant état de ses recherches au travers de maints détails et de références à sa longue expérience en tant que chef. \n\nElizabeth Watss \nElizabeth Watts naît à Norwich (UK) où elle chante dans le chœur de la cathédrale. Elle commence par étudier l’archéologie avant de revenir à la musique au Royal College of Music (RCM) de Londres. \nEn récital\, en concert et sur la scène lyrique\, la jeune chanteuse s’est déjà produite dans plusieurs hauts lieux de la musique : Royal Opera House Covent Garden\, Wigmore Hall\, Welsh National Opera\, BBC Proms\, Santa Fe Opera\, Handel and Haydn Society de Boston. Elle interprète notamment Contessa (Le nozze di Figaro)\, Donna Elvira (Don Giovanni)\, Fiodiligi (Così fan tutte)\, Almirena (Rinaldo) ou Marzelline (Fidelio). \nElle reçoit de nombreuses distinctions\, dont le Kathleen Ferrier Prize en 2006\, le Rosenblatt Recital Song Prize au BBC Cardiff Singer of the World competition en 2007 et le prix Borletti-Buitoni Trust Award en 2011. Lauréate d’un programme consacré aux jeunes artistes\, le « BBC New Generation Artist »\, elle est ensuite invitée comme artiste en résidence au Southbank Centre de Londres. \nElizabeth Walls a de nombreux enregistrements à son actif : Schubert Lieder\, Strauss\, The Complete Songs et Mozart arias avec le Scottish Chamber Orchestra\, différentes œuvres de Scarlatti et de Bach avec The English Concert et plus récemment La Passion selon Brockes de Haendel avec l’Academy of Ancient Music. \nElle est nommée Honorary Doctor of Music par la Sheffield University en 2013 et devient Fellow du RCM en 2017. \n\nHanna Hipp\nHanna Hipp\, polonaise basée en Angleterre\, est ancien membre du Jette Parker Young Artist Programme. Son chant ardent et passionné fait d’elle une favorite du répertoire de premier plan des mezzos lyriques. \nElle chante pour la première fois au Royal Opera House Covent Garden dans le rôle de Magdalene (Die Meistersinger von Nürnberg mis en scène par Holten sous la direction de Pappano)\, puis interprète Hänsel (Hänsel und Gretel) : elle excelle autant dans les rôles éminemment féminins que dans ceux de jeunes garçons. Ainsi\, elle incarne Octavian (Der Rosenkavalier)\, Frances (Gloriana)\, Isolier (Le Comte Ory)\, Béatrice (Béatrice et Bénédict)\, Varvara (Katya Kabanova)\, Fantasio\, sous la direction de grands chefs et metteurs en scène : Bolton\, Gatti\, Zanetti\, Dutoit\, Jurowsky\, et McVicar\, Haenchen\, Holten\, entre autres. \nEn concert\, elle chante notamment les Nuits d’été de Berlioz avec le BBC Symphony Orchestra\, l’Orchestre de Chambre de Paris\, le City of Birmingham Symphony Orchestra et le Oulu Sinfonia\, le Requiem de Mozart ou la Neuvième de Beethoven. Elle a enregistré un CD de mélodies de Pizzetti pour Resonus. \nLors de la saison 2021-22\, elle retourne au Royal Opera House pour Cherubino sous la baguette de Pappano\, au English National Opera pour Dorabella avec Hasan et au Barbican pour Der Trommler (Kaiser von Atlantis). \n\n Saimir Pirgu \nNé en Albanie\, Saimir Pirgu étudie le violon dès son plus jeune âge. Ce n’est qu’à 19 ans qu’il entend à la télévision le fameux concert des trois ténors aux Thermes de Caracalla. Fasciné\, il décide alors de devenir chanteur d’opéra. Dès lors\, sa progression est fulgurante : il part faire ses études au Conservatorio Monteverdi de Bolzano avec Vito Maria Brunetti\, rencontre Pavarotti avec qui il travaille de nombreux rôles\, gagne le Premier Prix des concours internationaux Caruso et Tito Schipa et à 22 ans\, il est invité par Abbado pour Ferrando (Così fan tutte) à Ferrara. \nSes aigus éclatants\, son timbre chaleureux\, son jeu convaincant lui ouvrent les portes des plus grands théâtres lyriques : Teatro alla Scala\, Metropolitan Opera\, Bayerische Staatsoper\, Arena di Verona\, Salzburger Festspiele\, Opernhaus Zürich\, sous la direction de Muti\, Thielemann\, P. Jordan\, Mehta\, Pappano\, entre autres chefs prestigieux. \nEn 2021-22\, il interprète Des Grieux (Manon) à l’Opéra de Lyon et au Théâtre des Champs-Élysées\, Steva (Jenufa) au Royal Opera House Covent Garden\, Duca (Rigoletto) au Liceu Opera Barcelona et au Staatsoper Berlin\, Rodolfo (La Bohème) au Teatro Colón\, Tamino (Die Zauberflöte) au Wiener Staatsoper\, le Te Deum de Bruckner à Rome et la Neuvième de Beethoven à Detroit. \nSaimir Pirgu est ambassadeur de la Fondation Down Syndrome Albania depuis 2013. \n\nDaniel Schmutzhard\nNé en Autriche\, Daniel Schmutzhard est très tôt soliste des Wilterner Sängerknaben. Il commence ses études au conservatoire d’Innsbruck et les continue à l’Universität für Musik und Darstellende Kunst de Vienne. Dès 2005\, il est engagé au Volksoper Wien\, puis à l’Oper Frankfurt. Commence alors une carrière internationale : Festival d’Aix-en-Provence\, Staatsoper Berlin\, Salzburger Festspiele\, Bayreuther Festspiele\, Bayerische Staatsoper\, Bregenzer Festspiele\, New National Theatre de Tokyo\, entre autres. \nIl chante un très vaste répertoire\, tant à l’opéra qu’au concert\, sous la direction de grands chefs tels que Sir Rattle\, Weigle\, Barenboim\, Jacobs\, Petrenko ou Jurowsky et metteurs en scène comme Kosky\, Wieler\, Kentridge ou Bieito: il donne Papageno (Die Zauberflöte)\, Don Giovanni\, Marcello (La Bohème)\, Wolfram (Tannhäuser)\, Eugène Onéguine\, ou Die Schöpfung\, Lieder eines fahrenden Gesellen\, War Requiem\, parmi tant d’autres. \nPendant la saison 2021-22\, il interprète notamment Corpo (Rappresentatione di anima\, et di corpo) dans la nouvelle production du Theater an der Wien\, avec l’ensemble Il Giardino Armonico et mis en scène par Carsen ; Alberich (Rheingold) en concert avec le Concerto Köln à Cologne et au Het Concertgebouw sous la direction de Nagano ; le rôle-titre de Svanda Dudák au Komische Oper Berlin dans la nouvelle mise en scène de Homoki. \nDaniel Schmutzhard vit avec sa femme Annette Dasch et leurs deux jeunes enfants à Francfort. \n\nZürcher Sing-Akademie\nÀ la fois chœur symphonique et ensemble a cappella\, la Zürcher Sing-Akademie est depuis longtemps reconnu parmi les chœurs professionnels européens pour sa souplesse et sa polyvalence artistique aussi bien que pour ses interprétations inspirées. \nFondée en 2011\, la Zürcher Sing-Akademie collabore avec de nombreux chefs à la réputation internationale\, tels qu’Antonini\, Barenboim\, Haitink\, Heras-Casado\, Jacobs\, Järvi\, Nagano\, Norrington\, Nott ou Zinman. Depuis la saison 2017-18\, la Zürcher Sing-Akademie est placée sous la direction artistique de Florian Helgath\, son chef principal. \nLe chœur a effectué des tournées en Allemagne\, en Italie\, en Israël\, aux Pays-Bas\, au Liban\, à Taïwan et en Chine\, ainsi que dans diverses capitales européennes. Partenaire du Tonhalle Orchester Zürich  depuis sa création\, la Zürcher Sing-Akademie travaille aussi régulièrement avec des ensembles renommés comme le Freiburger Barockorchester\, le Luzerner Sinfonieorchester\, l’Orchestre de la Suisse Romande\, le Kammerorchester Basel\, le Musikkollegium Winterthur\, la Hofkapelle München ou l’ensemble baroque La Scintilla. \nLa Zürcher Sing-Akademie se produit régulièrement dans des programmes a cappella\, qui incluent souvent des œuvres de compositeurs suisses. À l’origine de nombreuses commandes et créations\, l’ensemble apporte une contribution significative dans le développement du répertoire choral. \nDe nombreux enregistrements de CD primés ont déjà été publiés avec l’ensemble\, tels que Leonore de Beethoven sous la direction de Jacobs et sa Fantaisie  für Chor und Orchester sous la direction de Heras-Casado\, tous deux avec le Freiburger Barockorchester pour Harmonia Mundi. En 2022\, le premier enregistrement a cappella du chœur sortira également sur le label suisse Claves Records. \n\nFlorian Helgath\nFlorian Helgath s’impose comme l’un des plus importants chefs de chœur de la jeune génération. Florian Helgath est directeur artistique de ChorWerk Ruhr depuis 2011. Depuis 2017-2018\, il est également directeur artistique de la Zürcher Sing-Akademie. \nFlorian Helgath a débuté comme choriste dans sa ville natale avec le Regensburger Domspatzen. Il a étudié la direction de chœur à la Hochschule für Musik und Theater de Munich et a obtenu son diplôme de master en 2008. Michael Gläser\, Stefan Parkman et Dan-Olof Stenlund sont ses professeurs les plus marquants et ont été une grande source d’inspiration pour lui dans sa carrière de chef d’orchestre. Artiste récompensé et finaliste de l’Eric Ericson Award en 2006 et du Concours international de jeunes chefs d’orchestre de Budapest en 2007\, Florian Helgath a déjà attiré l’attention sur la scène musicale chorale internationale. \nFlorian Helgath a été chef d’orchestre du Chœur national danois de 2009 à 2015 et directeur artistique du via-nova-chor de Munich de 2008 à 2016. Avec cet ensemble\, il a dirigé de nombreuses premières exécutions et a été récompensé par des prix internationaux. \nFlorian Helgath est également chef d’orchestre invité régulier du SWR Vokalensemble\, du RIAS Kammerchor\, du Chœur MDR de la radio de Leipzig\, du Chœur de la radio bavaroise\, du Chœur de la radio néerlandaise\, du Chœur de Radio France et du Chœur philharmonique de Varsovie\, entre autres\, et collabore avec l’Orchestre de la Radio de Munich\, l’Orchestre symphonique de Bochum\, l’Orchestre symphonique d’Odense\, le Brussels Philharmonics\, le Münchner Symphoniker\, l’Akademie für Alte Musik Berlin\, le Concerto Köln et l’Ensemble Resonanz. Il s’est produit dans de grands festivals et salles de concert comme le Berliner Festspiele\, l’Audi Sommerkonzerte\, l’Eclat Festival de Stuttgart\, les Thüringer Bachwochen et\, en particulier\, la Ruhrtriennale\, pour des opéras contemporains et de nombreux projets divers. URL:https://www.roseyconcerthall.ch/event/osr-23/ LOCATION:Rosey Concert Hall\, Le Rosey\, Rolle\, 1180\, Suisse CATEGORIES:Concert ATTACH;FMTTYPE=image/png:https://www.roseyconcerthall.ch/wp-content/uploads/2022/06/banner-OSR.png GEO:46.4598076;6.3275569 X-APPLE-STRUCTURED-LOCATION;VALUE=URI;X-ADDRESS=Rosey Concert Hall Le Rosey Rolle 1180 Suisse;X-APPLE-RADIUS=500;X-TITLE=Le Rosey:geo:6.3275569,46.4598076 END:VEVENT BEGIN:VEVENT DTSTART;TZID=Europe/Helsinki:20230405T201500 DTEND;TZID=Europe/Helsinki:20230405T220000 DTSTAMP:20250502T174048 CREATED:20220620T125344Z LAST-MODIFIED:20230405T105207Z UID:10000240-1680725700-1680732000@www.roseyconcerthall.ch SUMMARY:ELECTRIC ARCADE DESCRIPTION:ELECTRIC ARCADE\nDirection : Eimear Noone\nAvec les Solistes de la Menuhin Academy\n\n\nEimear Noone était venue diriger l’orchestre qui accompagnait le fantôme de la Callas lors de son concert hologramme en 2019. Nous sommes impatients de retrouver cette pétillante cheffe d’orchestre à la tête d’un nouveau projet : une soirée autour des musiques de jeux vidéo. Accompagnée par son propre band\, elle retrouve également les solistes de la Menuhin Academy qui relèvent le défi d’interpréter un genre bien différent ! \nMarie-Noëlle Tirogalas \n\nPROGRAMME\n\n Halo  \nThe Legend of Zelda  \nCastlevania  \nMetal Gear Solid  \nMalach – World of Warcraft  \n Baba Yetu – Civilization IV  \nEzio’s Family – Assassin’s Creed  \n Uncharted  \nEthereal Essence – WoW \n \n Human Fall Flat – City Level\n \nFortnite \nOri and the Will of the Wisps  \nHades\n \nOne Winged angel – Final Fantasy 7 \n\n \n© Steve Humphreys \n\n“If you have ever battled wolves at the gates of Draenor or helped Link rescue Princess Zelda then chances are you’ve been moved by the music of Eímear Noone.” \nThe Times \nEimear Noone\nEimear Noone – la référence et l’une des rares femmes compositeurs et chefs d’orchestre de l’espace gaming\, propose un concert qui fera un voyage à travers l’histoire des jeux vidéo : de HALO à HADES\, nominé aux BAFTA\, de Final Fantasy à Fortnite\, de Castlevania à Civilization et un opéra rock de Tetris (parce que…pourquoi pas ?!) ce concert s’appuie sur les grandes partitions orchestrales des jeux vidéo. \nOrganisé et arrangé par Eímear Noone et Craig Stuart Garfinkle\, le concert réunira du rock et de l’électronique\, afin d’offrir un mélange de grands classiques nostalgiques et de partitions actuelles\, des méga-titres de Triple-A aux favoris des fans de jeux indépendants primés. \n\nLes Solistes de la Menuhin Academy\nQuand Lord Menuhin créa en 1977 avec son disciple et ami Alberto Lysy\, l’International Menuhin Music Academy à Gstaad\, il inventait une forme toute nouvelle d’académie musicale\, sans frais de scolarité\, où les futurs solistes\, recrutés pour 3 ou 4 ans dans le monde entier après leurs études secondaires\, seraient réunis par une même passion de la musique et une même volonté de progresser\, apprendraient à jouer ensemble et à se produire en public et partageraient un même idéal humaniste de tolérance et d’ouverture au monde et aux autres. Un noyau de trois professeurs anciens élèves de Menuhin et de Lysy se chargèrent après 2009 de transmettre cette flamme et cet héritage artistique et culturel: Oleg Kaskiv reprit la direction musicale et l’enseignement du violon\, Pablo de Naverán\, celui du violoncelle\, Ivan Vukčević\, celui de l’alto. Ils ont formé quotidiennement avec la même ferveur les seize solistes qui composent l’ensemble des Menuhin Academy Soloists et qui bénéficient de l’accompagnement au piano d’Olga Sitkovetsky (de la Menuhin School dans le Surrey). Les meilleurs se présentent à des concours réputés. \nDe 2012 à 2019\, Maxim Vengerov a été le directeur artistique de l’Académie. \nEn 2015\, les solistes de l’Académie sont devenus l’orchestre résident de l’Institut Le Rosey à Rolle. \nIls y offrent des concerts publics\, participent à plusieurs festivals en Suisse et en Europe et préparent des tournées internationales. Au total une trentaine de concerts annuels. \nEn juillet 2019\, Renaud Capuçon a rejoint l’Académie pour en prendre la direction artistique et lui insuffler un élan nouveau. Il s’est adjoint un deuxième enseignant pour le violon\, Guillaume Chilemme. De prestigieuses invitations sont depuis régulièrement lancées pour organiser des master classes au Rosey Concert Hall pour chaque instrument et pour la musique de chambre. Le corps professoral s’est récemment étoffé grâce à la venue de deux autres maîtres\, Gérard Caussé pour l’alto et Clemens Hagen pour le violoncelle. \nwww.menuhin.com URL:https://www.roseyconcerthall.ch/event/electric-arcade/ LOCATION:Rosey Concert Hall\, Le Rosey\, Rolle\, 1180\, Suisse CATEGORIES:Concert ATTACH;FMTTYPE=image/png:https://www.roseyconcerthall.ch/wp-content/uploads/2022/06/Electric-Arcade-Banner.png GEO:46.4598076;6.3275569 X-APPLE-STRUCTURED-LOCATION;VALUE=URI;X-ADDRESS=Rosey Concert Hall Le Rosey Rolle 1180 Suisse;X-APPLE-RADIUS=500;X-TITLE=Le Rosey:geo:6.3275569,46.4598076 END:VEVENT BEGIN:VEVENT DTSTART;TZID=Europe/Helsinki:20230209T201500 DTEND;TZID=Europe/Helsinki:20230209T220000 DTSTAMP:20250502T174048 CREATED:20220620T123527Z LAST-MODIFIED:20221108T131017Z UID:10000238-1675973700-1675980000@www.roseyconcerthall.ch SUMMARY:GRAND CHOEUR ET ORCHESTRE DE L'HEMU DESCRIPTION:GRAND CHOEUR ET ORCHESTRE DE L’HEMU\nDirection : Kaspar Zehnder\n\n\nLa Fondation Le Rosey collabore depuis 2020 avec la HEMU en finançant des bourses pour quelques-uns de ses brillants étudiants. L’orchestre de cette école de musique avait foulé notre scène en octobre 2021 avec le concert du Gala « Crescendo Con la Musica » ; il revient accompagné d’un chœur de 200 artistes pour une production titanesque autour de Saint-Saëns. Les bénéfices de cette soirée seront alloués à de nouvelles bourses pour la HEMU. \nMarie-Noëlle Tirogalas \n\nPROGRAMME\nCésar Franck (1822-1890)\nLes Sept paroles du Christ en Croix \n\nCamille Saint-Saëns (1835-1921)\nSymphonie nº3 en ut mineur op. 78\n\n\n  \n \nChoeur de l'HEMU\nLe Choeur de l’HEMU rassemble l’ensemble des étudiant·es Bachelor\, chanteur·euses comme instrumentistes. Une expérience jugée essentielle qui permet à toutes et tous d’acquérir les bases de la respiration commune et de vivre l’émotion grisante des grands choeurs. Au programme : oeuvres a cappella\, projets crossover et grandes fresques rassembleuses avec le concours d’autres ensembles de l’HEMU\, tels que l’Orchestre de l’HEMU ou l’HEMU Jazz Orchestra.  \n \n© Olivier Wavre \n\nOrchestre de l'HEMU\n L’Orchestre de l’HEMU est une formation à géométrie variable qui combine intérêt pédagogique et impératifs de la scène professionnelle. Sous la baguette de prestigieux chef.fes invité.es\, et souvent aux côtés d’autres ensembles de l’HEMU\, l’Orchestre embrasse un répertoire couvrant près de quatre siècles de création musicale\, de 1650 à nos jours\, avec à la clef plusieurs enregistrements. Grâce à une mise en commun régulière de ses forces avec celles de l’Orchestre de Chambre de Lausanne (OCL)\, il lui est possible en outre d’interpréter des oeuvres monumentales sur la scène de la Salle Métropole à Lausanne. Hôte de théâtres de premier plan tels que l’Opéra de Lausanne\, le Crochetan à Monthey et le Théâtre du Jorat à Mézières\, l’Orchestre de l’HEMU se profile également depuis plusieurs années sur la scène lyrique\, participant à des productions remarquées.  \n\nKaspar Zehnder\nKaspar Zehnder est originaire de la région des Préalpes bernoises dans le canton de Berne/Suisse. Il est chef d’orchestre principal de la Philharmonie de Hradec Králové (CZ) depuis 2018 et de l’Orchestre symphonique de Bienne Soleure (CH) depuis 2012. Après les écoles jusqu’au baccalauréat dans la filière classique et linguistique\, il a étudié la flûte et la direction d’orchestre à Berne\, Paris\, Sienne et à l’European Mozart Academy. De 1999 à 2020\, il a été directeur artistique du festival Murten Classics et de 2004 à 2012\, directeur musical du Zentrum Paul Klee. En tant que flûtiste\, il effectue régulièrement des tournées de musique de chambre avec Magdalena Kožená\, Sir Simon Rattle et d’autres amis. Kaspar Zehnder dirige des orchestres de premier plan dans toute l’Europe. Son répertoire comprend d’innombrables oeuvres symphoniques et vocales\, des grands oratorios de J.S. Bach à la musique d’ensemble de notre époque\, et englobe presque toute la création symphonique classique et romantique\, avec un accent sur tout ce qui est inconnu\, nouveau et redécouvert.  \n \n© Andrina Kaegi URL:https://www.roseyconcerthall.ch/event/grand-choeur-et-orchestre-de-lhemu/ LOCATION:Rosey Concert Hall\, Le Rosey\, Rolle\, 1180\, Suisse CATEGORIES:Concert ATTACH;FMTTYPE=image/png:https://www.roseyconcerthall.ch/wp-content/uploads/2022/06/Choeur-Orchestre.png GEO:46.4598076;6.3275569 X-APPLE-STRUCTURED-LOCATION;VALUE=URI;X-ADDRESS=Rosey Concert Hall Le Rosey Rolle 1180 Suisse;X-APPLE-RADIUS=500;X-TITLE=Le Rosey:geo:6.3275569,46.4598076 END:VEVENT BEGIN:VEVENT DTSTART;TZID=Europe/Helsinki:20221118T201500 DTEND;TZID=Europe/Helsinki:20221118T220000 DTSTAMP:20250502T174048 CREATED:20220622T080910Z LAST-MODIFIED:20221108T154235Z UID:10000245-1668802500-1668808800@www.roseyconcerthall.ch SUMMARY:DIE SIEBEN TODSÜNDEN / THE SEVEN DEADLY SINS DESCRIPTION:DIE SIEBEN TODSÜNDEN\nTHE SEVEN DEADLY SINS\nSingspiel de Kurt Weill\n\n\nAprès le formidable succès de Carmen\, le premier opéra donné au Rosey Concert Hall\, nous renouvelons l’expérience avec une mise en scène particulière du Singspiel (genre lyrique allemand dans lequel alternent dialogues parlés ou chantés et airs) Les sept péchés capitaux\, proposé en allemand et en anglais. Cette version est une production du Théâtre Orchestre Bienne et Soleure. \nMarie-Noëlle Tirogalas \n\n\nRésumé\n\nCette soirée particulière présente Weill et Brecht en double: découvrez «Les sept péchés capitaux» tour à tour! On revit à chaque fois par les yeux et les oreilles le même jeu ingénieux dans des langues\, distributions et perspectives différentes… \nKurt Weill compose l’œuvre en 1933 pour le Théâtre des Champs-Elysées à Paris en reprenant la critique sociale acerbe de Brecht dans des sonorités entraînantes évoquant le tango\, le foxtrot et le barbershop. En attribuant exclusivement des voix d’hommes à toute la famille (y compris la mère)\, Weill met l’accent sur les structures patriarcales dominantes. Elles ironisent avec pertinence sur la morale ambivalente et petite-bourgeoise d’une société prête à abandonner ses valeurs et sa santé psychique pour sa prospérité. \nMise en Scène : Olivier Tambosi\nDirection : Yannis Pouspourikas\nThéâtre Orchestre Bienne Soleure (TOBS)\n \nVersion pour 15 joueurs du HK Gruber et Christian Muthspiel \n\n\nOlivier Tambosi\nNé à Paris\, il a étudié la philosophie\, théologie et mise en scène d’opéra à Vienne. Il met en scène des opéras dans le monde entier\, notamment au MET\, à l’Opéra de San Francisco\, au Volksoper de Vienne\, ainsi qu’au Festival de Bregenz et au Lucerne Festival. Au TOBS\, il a créé «Maria de Buenos Aires»\, «La Veuve Joyeuse» et «Sweeney Todd». \n\nYannis Pouspourikas\nChef d’orchestre né à Marseille en 1971. Très vite\, il part étudier au Conservatoire supérieur de Genève\, puis à l’Opéra de Zurich\, où il obtient un premier prix de direction d’orchestre à l’unanimité du jury. Il est rapidement engagé comme chef assistant à l’Opéra national de Paris\, puis par Sir Simon Rattle au festival de Glyndebourne. En 1999\, il fait ses débuts à Genève dans La Chauve-Souris. De 2000 à 2004\, il occupe les fonctions de chef d’orchestre assistant et de deuxième chef de chœur à l’Opéra national de Paris. Il collabore alors régulièrement avec le festival de Glyndebourne\, le festival d’Orange\, le Teatro Real à Madrid\, le Grand Théâtre à Genève et le théâtre de La Monnaie à Bruxelles. \nÀ l’aise dans l’univers lyrique\, Yannis Pouspourikas soigne tout autant le répertoire symphonique. Il se produit notamment à la tête de l’Orchestre de la Suisse romande\, l’Orchestre de Monte-Carlo\, l’Orchestre de la Radio suisse italienne (Le Sacre du printemps\, La Mer…)\, l’Orchestre philharmonique de Strasbourg\, l’Orchestre national de Lorraine\, l’Orchestre de Picardie\, l’Orchestre de la Radio de Dublin\, l’Orchestre de chambre de Genève ou l’Orchestre symphonique de Madrid (Teatro Real). Des solistes tels que Khatia Buniatishvili\, Anne Gastinel\, Laurent Korcia ou Xavier Phillips ont récemment joué sous sa baguette. \nEn 2004\, il est nommé chef d’orchestre en résidence à l’Orchestre national de Lyon\, et dès 2005 il occupe de plus la charge de chef d’orchestre associé à l’Orchestre Symphonique de Mulhouse pendant quatre saisons. Yannis Pouspourikas est nommé en septembre 2008 Huisdirigent à l’Opéra des Flandres. Il y dirige un répertoire très varié\, allant de Peter Grimes à Samson et Dalila en passant par Candide\, Hérodiade\, Mahagonny\, Zauberflöte ou Carmen. \nEn septembre 2010\, après avoir remplacé Jesus Lopez-Cobos pour Les Contes d’Hoffmann à l’Opéra national de Paris\, Yannis Pouspourikas y dirige Le Loup d’Henri Dutilleux\, en présence du compositeur. Depuis\, il y dirige régulièrement comme chef invité. \nInvité régulièrement en Allemagne\, il y dirige par exemple la première symphonie de Mahler\, la huitième symphonie de Bruckner ainsi que la rare Faust-Symphonie de F. Liszt (Braunschweig)\, Le Sacre du printemps\, La Cinquième Symphonie de Tchaïkovsky à la tête du Südwestdeutsche Philharmonie Konstanz\, L’Oiseau de feu à Wuppertal\, Werther au National Theater Mannheim…. \nPlus récemment\, il a occupé la position de Premier Kappelmeister au Aalto Theater Essener Philharmoniker\, et occupe depuis 2020 le poste de chef en résidence au Theater Erfurt: il y dirige des titres tels que Tchaikovsky Jeanne d’Arc\, Nabucco\, Damnation de Faust ou Le Sacre du Printemps. En parallèle depuis août 2022 le poste de chef permanent au Theater Orchester Biel Solothurn. il y dirige Tchaikovsky Mazeppa\, Bartok Le château de Barbe-bleue\, et y fait lors de son premier concert comme chef titulaire la création mondiale du Concerto Noir\, deuxième concerto pour violon de Christian Jost (soliste: Viviane Hagner). \nComme invité\, Yannis Pouspourikas apparait régulièrement à L’opéra national de Paris (Stravinsky symphonie en trois mouvements lors de la saison 2021-2022)\, l’Opéra de Zürich (Casse-Noisettes)\, au Grand-Théâtre de Genève comme à L’opéra de Budapest (Fountain of Bakhchissaraï). \nUn premier CD Harsanyi/Saint-Saëns avec l’Orchestre de la Suisse romande est publié chez Lyrinx. \nSon premier CD comme directeur musical de l’Orchestre de Bienne Soleure sortira en décembre 2022. \n\n\n\nTélécharger le dossier de presse \n\nIntrigue\n\nUne petite maison en Louisiane: pour financer son rêve de devenir propriétaire\, Anna est envoyée à l’étranger par sa famille. Le voyage dure sept ans et la conduit à travers sept villes d’une Amérique fictive. Pour éviter les «sept péchés capitaux des petits bourgeois»\, elle doit mentir\, tricher\, être humiliée et se prostituer\, elle ne doit pas montrer de compassion face à l’injustice et elle ne doit pas tomber amoureuse. Pour supporter cette pression\, sa personnalité se scinde en deux: Anna I est rationnelle\, guidée par le succès et le contrôle\, tandis qu’Anna II reflète les sentiments\, les aspirations et les idéaux d’un moi enfoui et réprimé. Ainsi\, nous assistons à un voyage intérieur d’Anna I et d’Anna II: à la recherche d’une identité sexuelle dans le tiraillement entre ses pôles féminin et masculin. Ce voyage se transforme en un cauchemar interminable. Les personnalités dissociées deviennent indépendantes et entrent de plus en plus en conflit l’une avec l’autre. L’auto-optimisation compulsive tourne à l’autoexploitation\, le déni de soi\, à l’autodestruction. \nOlivier Tambosi \n\n\n\nLa nécessité rend inventif\n\nAprès l’accession au pouvoir des nationaux- socialistes en janvier 1933\, Weill ne pensait pas que cette «hantise hitlérienne»\, comme l’appelait Brecht\, durerait: «Je considère ce qui se passe ici comme tellement malsain que je ne peux pas imaginer comment cela pourrait durer plus de quelques mois.» Mais malheureusement\, la situation ne cessa de s’aggraver pour le compositeur juif: la musique de Weill\, qualifiée de «dégénérée»\, fut interdite\, ses partitions et ses disques\, détruits. Il rencontra de plus en plus de difficultés financières et il ne lui resta plus qu’à quitter l’Allemagne. Il se rendit à Paris avec le couple Erika et Caspar Neher\, où ils arrivèrent le 23 mars 1933. À Paris\, Weill n’était pas un inconnu: ses oeuvres «Aufstieg und Fall der Stadt Mahagonny»\, «Der Jasager» et «Die Dreigroschenoper » y avaient déjà été jouées avec grand succès. Il n’est donc pas surprenant qu’Edward James\, un multimillionnaire anglais\, ait contacté Weill après deux semaines seulement pour lui commander une musique de ballet. James prévoyait une soirée de ballet en six parties avec la troupe «Les Ballets 1933»\, fondée par Boris Kochno et George Balanchine. Tous deux étaient d’anciens membres des «Ballets russes» de Sergei Diaghilev. Weill proposa Jean Cocteau comme librettiste\, mais celui-ci refusa par manque de temps. \nConscient de l’énorme impact publicitaire\, James Kurt Weill proposa de collaborer à nouveau avec Bertolt Brecht. Même si ce dernier avait traité Weill de «faux Richard Strauss» lors des répétitions de «Mahagonny » en 1931 et que le courant ne passait plus entre les deux hommes. Les conditions étaient donc loin d’être idéales. Tout en considérant le ballet comme «la plus stupide des formes d’art»\, Brecht accepta toutefois\, car lui aussi avait un urgent besoin d’argent. C’est donc par pure nécessité que Brecht et Weill écrivirent leur ultime oeuvre en commun à Paris. Après avoir travaillé huit jours avec Brecht\, Weill estima que ce dernier était l’un des «compagnons les plus répugnants\, les plus désagréables sur terre». Les répétitions de «Die sieben Todsünden» («Les Sept péchés capitaux») durent être éprouvantes\, non seulement au niveau linguistique – Lotte Lenya rapporte que George Balanchine ne comprenait pas un traitre mot d’allemand et que tout devait être traduit vers le français puis vers le russe – mais aussi au niveau émotionnel. La confusion des sentiments les plus divers régnait car tous les artistes impliqués étaient liés entre eux d’une manière ou d’une autre: Lotte Lenya\, qui jouait le rôle d’Anna I\, était (encore) l’épouse de Kurt Weill et entretenait une liaison avec le premier ténor\, Otto Pasetti. On murmurait par ailleurs qu’elle avait une relation avec Tilly Losch\, l’interprète d’Anna II. Celle-ci était elle-même mariée avec Edward James\, le financier. Tilly Losch divorça d’Edward James en 1934 – elle l’accusait d’homosexualité. Weill\, quant à lui\, prit pour maîtresse Erika Neher\, la femme du décorateur de théâtre Caspar Neher. Le 7 juin 1933\, «Die sieben Todsünden» furent représentés pour la première fois au Théâtre des Champs-Élysées à Paris. \nLa mère était d’ailleurs interprétée par le célèbre acteur suisse Heinrich Gretler (entre autres Alp-Öhi\, Wachtmeister Studer). Sans doute parce qu’elle était donnée en allemand\, l’oeuvre n’eut pas le succès escompté. Le correspondant parisien du magazine «The New Yorker» qualifia «Les Sept Péchés Capitaux» de «breuvage pour lequel personne n’a manifestement éprouvé de goût». Seuls les émigrés allemands vivant à Paris réagirent avec enthousiasme. Walter Mehring rapporta: «Une élite a célébré les artistes et les interprètes\, comme on en avait l’habitude à la grande époque de l’art théâtral allemand. » Alors que Weill considérait «Die sieben Todsünden» comme l’une de ses meilleures oeuvres\, Brecht s’exprima de manière désobligeante sur la première le 10 juin 1933 dans une carte postale adressée à sa femme Helene Weigel: «Le ballet s’est joliment déroulé\, mais n’était pas si important.» La première représentation en anglais de «Die sieben Todsünden» eut lieu dès la fin juin 1933 à Londres sous le titre «Anna – Anna». La traduction\, réalisée à court terme\, était l’oeuvre d’Edward James et de Lotte Lenya. Après d’autres représentations à Copenhague en 1936\, la pièce disparut des scènes pendant une longue période. Ce n’est que grâce à l’enregistrement de Lotte Lenya en 1956 que l’oeuvre devint connue d’un plus large public et entama une marche triomphale qui se perpétue aujourd’hui. Pour la représentation new-yorkaise des «Seven Deadly Sins» en 1959\, le grand écrivain anglophone et librettiste d’opéra chevronné W. H. Auden et son partenaire Chester Kallman furent chargés d’une nouvelle traduction\, que l’on pourra entendre en deuxième partie de soirée. \nNathalie Widmer URL:https://www.roseyconcerthall.ch/event/die-sieben-todsunden-the-seven-deadly-sins-18/ LOCATION:Rosey Concert Hall\, Le Rosey\, Rolle\, 1180\, Suisse ATTACH;FMTTYPE=image/png:https://www.roseyconcerthall.ch/wp-content/uploads/2022/06/7DeadySins-Banner.png GEO:46.4598076;6.3275569 X-APPLE-STRUCTURED-LOCATION;VALUE=URI;X-ADDRESS=Rosey Concert Hall Le Rosey Rolle 1180 Suisse;X-APPLE-RADIUS=500;X-TITLE=Le Rosey:geo:6.3275569,46.4598076 END:VEVENT BEGIN:VEVENT DTSTART;TZID=Europe/Helsinki:20221102T201500 DTEND;TZID=Europe/Helsinki:20221102T223000 DTSTAMP:20250502T174048 CREATED:20220620T115544Z LAST-MODIFIED:20221026T111423Z UID:10000235-1667420100-1667428200@www.roseyconcerthall.ch SUMMARY:L'AVARE DESCRIPTION:L’AVARE\nde Molière\n\n\nLe grand retour du théâtre sur la scène du Rosey Concert Hall avec la pièce indémodable de Molière. Michel Boujenah en Harpagon dans une mise en scène quasi cinématographique de Daniel Benoin ravira nos spectateurs de tous âges. \nMarie-Noëlle Tirogalas \n\n\n\n\n \n© Philip Ducap \n\nMarilu production présente une coproduction DBP et Théâtre des Variétés. \nUne pièce d’une étonnante modernité\, psychologiquement fascinante. L’histoire de l’Avare\, comme de toutes les autres grandes oeuvres de Molière\, est l’histoire d’une passion effrénée\, sinon folle\, qui finit par troubler l’ordre social. A l’inverse de Dom Juan qui existe dans la dépense\, il s’agit là d’une passion de la restriction\, du retour vers soi\, de la retenue\, du revenu. Harpagon\, pour qui tous les moyens de lutter contre la mort sont bons\, cherche avidement ce qui lui semble éternel – l’argent – et ce qui peut lui insuffler une nouvelle vie\, la jeunesse de Marianne… L’or\, à l’évidence\, ne pouvait assouvir sa faim ; extérieur à lui\, il ne pouvait que vouer Harpagon à l’échec et à ‘angoisse. Et cet échec a vraiment débuté lorsqu’Harpagon\, fasciné par Marianne\, comme Arnolphe par Agnès ou Alceste par Célimène\, a commencé à désirer passionnément celle qui pourrait être sa petite fille… Alors\, tout va se dérégler\, les rôles vont s’inverser\, les fils vont prendre le pouvoir\, les valets trouveront l’or caché et l’avidité d’Harpagon deviendra l’avarice. \nDaniel Benoin \nL'Avare\nHarpagon n’aime que son argent et soupçonne tout le monde de vouloir le lui voler. Pour marier ses deux enfants\, il a fait le choix d’une riche veuve pour son fils Cléante et pour sa fille\, Élise\, du seigneur Anselme\, un homme mûr\, noble et fort riche. Harpagon est pressé de caser ses enfants pour épouser lui-même une jeune fille pauvre\, Mariane\, dont la beauté l’a charmé… \nMise en scène Daniel Benoin \nDécors Jean-Pierre Laporte \nCostumes Nathalie Bérard-Benoin \nLumières Daniel Benoin \nVidéo Paulo Correia \nAssistante mise en scène Kelly Rolfo \nAssistante costumes Sophie Visentin \nAvec \nMichel Boujenah dans le rôle Harpagon et 10 comédiens \n\n\n\nDistribution\n\nMichel Boujenah \nHarpagon \nSophie Gourdin\nFrosine \nBruno Andrieux \nLa flèche / Anselme \nMathieu Métral\nValère \n\nMélissa Prat \nÉlise \nNoémie Bianco\nMarianne \nAntonin Chalon\nCléante \nPaul Chariéras\nMaître Jacques \nFabien Houssaye\nLe Commissaire Brindavoine \nJulien Nacache\nLa Merluche URL:https://www.roseyconcerthall.ch/event/lavare/ LOCATION:Rosey Concert Hall\, Le Rosey\, Rolle\, 1180\, Suisse CATEGORIES:Théâtre ATTACH;FMTTYPE=image/png:https://www.roseyconcerthall.ch/wp-content/uploads/2022/06/Lavare-Banner.png GEO:46.4598076;6.3275569 X-APPLE-STRUCTURED-LOCATION;VALUE=URI;X-ADDRESS=Rosey Concert Hall Le Rosey Rolle 1180 Suisse;X-APPLE-RADIUS=500;X-TITLE=Le Rosey:geo:6.3275569,46.4598076 END:VEVENT BEGIN:VEVENT DTSTART;TZID=Europe/Helsinki:20221013T201500 DTEND;TZID=Europe/Helsinki:20221013T221500 DTSTAMP:20250502T174048 CREATED:20220620T112717Z LAST-MODIFIED:20221006T124358Z UID:10000233-1665692100-1665699300@www.roseyconcerthall.ch SUMMARY:PINK MARTINI DESCRIPTION:PINK MARTINI\nFeaturing : China Forbes\n\n\nPrévu initialement en 2020\, reporté puis annulé\, nous sommes ravis de pouvoir enfin partager avec vous une soirée aux accents jazzy du célèbre groupe américain pour un concert unique en Suisse. \nMarie-Noëlle Tirogalas \n\nPROGRAMME\n \n© Chris Hornbecker \n\nPink Martini\nIn 1994\, in his hometown of Portland\, Oregon\, Thomas Lauderdale was working in politics\, thinking he would run for mayor one day. Like other eager politicians-in-training\, he went to every political fundraiser under the sun… but was dismayed to find the music at these events underwhelming\, lackluster\, loud\, and un-neighborly. Drawing inspiration from music from all over the world—crossing genres of classical\, jazz and old-fashioned pop—and hoping to appeal to conservatives and liberals alike\, he founded the “little orchestra” Pink Martini in 1994. His aim? To provide more beautiful and inclusive musical soundtracks for political fundraisers supporting causes such as civil rights\, affordable housing\, the environment\, libraries\, public broadcasting\, education\, and parks. \nOne year later\, Lauderdale called China Forbes\, a Harvard classmate living in New York City\, and asked her to join Pink Martini. They began to write songs together. Their first\, “Sympathique\,” was an overnight sensation in France and nominated for Song of the Year at the Victoires de la Musique Awards. To this day\, it remains a mantra for striking workers: “Je ne veux pas travailler (I don’t want to work)”. \nPink Martini has sold well over 3 million albums worldwide on their own independent label Heinz Records (named after Lauderdale’s dog). In 2016\, Pink Martini released its ninth studio album\, Je dis oui!\, which features vocals from China Forbes\, Storm Large\, Ari Shapiro\, fashion guru Ikram Goldman\, civil rights activist Kathleen Saadat\, and Rufus Wainwright. The album’s 15 tracks span eight languages (French\, Farsi\, Armenian\, Portuguese\, Arabic\, Turkish\, Xhosa and English)\, and affirm the band’s history of global inclusivity and collaborative spirit.  In 2019\, Pink Martini collaborated on a new release with the international singing sensation Meow Meow\, entitled Hotel Amour\, and also released two 5-song EPs\, Besame Mucho\, featuring regular guest singer Edna Vazquez\, and Tomorrow\, featuring regular guest singer Jimmie Herrod\, a finalist on 2021’s season of NBC’s America’s Got Talent. During their pandemic hiatus\, the band release two new digital singles written by Thomas Lauderdale\, China Forbes\, and producer Jim Bianco\, “Let’s Be Friends\,” and “The Lemonade Song\,” which already has nearly 8 million streams on Spotify alone. \nFeaturing more than a dozen musicians\, Pink Martini performs its multilingual repertoire throughout the world. Says Lauderdale\, “We’re very much an American band\, but we spend a lot of time abroad and therefore have the incredible diplomatic opportunity to represent a broader\, more inclusive America… the America which remains the most heterogeneously populated country in the world… composed of people of every country\, every language\, every religion.” \nThe band made its European debut at the Cannes Film Festival in 1997 and its orchestral debut with the Oregon Symphony the following year. Since then\, Pink Martini has played with more than 50 orchestras internationally\, including Los Angeles Philharmonic\, Boston Pops\, National Symphony\, San Francisco Symphony\, Cleveland Orchestra\, and the BBC Concert Orchestra at London’s Royal Albert Hall. Other appearances include a performance at the official post-Oscars celebration Governors Ball\, four sold-out concerts at Carnegie Hall\, the opening party of the remodeled Museum of Modern Art in New York\, multiple sellouts and a festival opening at Montreal Jazz Festival\, and multiple appearances\, including sellouts\, at the Hollywood Ball and Walt Disney Concert Hall in downtown Los Angeles. In its 20th year\, Pink Martini was inducted into the Hollywood Bowl Hall of Fame and the Oregon Music Hall of Fame. In 2022\, the band is celebrating its 28th year of performing with its first full season of global touring since 2019\, due to the disruptions brought about by the pandemic. \n\n\n\nChina Forbes\nChina Forbes was born and raised in Cambridge\, Massachusetts where she graduated cum laude from Harvard and was awarded the Jonathan Levy Prize for « most promising actor ». She earned her Equity card appearing in New York regional theatre and off-Broadway productions while also performing regularly as a singer/songwriter in NYC clubs. Her first album « Love Handle » was released in 1995 and she was chosen to sing « Ordinary Girl\, » the theme song to the TV show Clueless. \nIt was that same year Harvard classmate Thomas Lauderdale invited her to sing with Pink Martini\, and she has since fronted the band as well as written many of the band’s most beloved songs with Lauderdale\, including “Sympathique\,” “Lilly\,” “Clementine\,” “Let’s Never Stop Falling in Love\,” « Over the Valley » to name a few. China’s solo original song “Hey Eugene” is the title track of Pink Martini’s third album and many of her songs can also be heard on television and film. She sang “Qué Será Será” over the credits of Jane Campion’s film « In the Cut » and her original song « The Northern Line » appears at the end of sister Maya Forbes’ directorial debut « Infinitely Polar Bear » (Sony Pictures Classics). Both films star Mark Ruffalo by coincidence. \nWith Pink Martini\, China has appeared on The Late Show with David Letterman\, Late Night with Conan O’Brien\, The Tonight Show with Jay Leno and Later with Jools Holland. She has performed songs in over 20 languages on 9 Pink Martini studio albums and has sung duets with Rufus Wainwright\, Michael Feinstein\, Carol Channing and many other wonderful artists. She has performed in venues from Carnegie Hall to Red Rocks\, the Hollywood Bowl to Paris’s l’Olympia and Sydney Opera House. Her second solo album « 78 » came out on Heinz Records in 2008\, a collection of autobiographical folk-rock songs. \nIn July 2021 China released her post-pandemic anthem “Full Circle”\, followed by “Rise”\, a song of home and mental-health awareness. China is currently at work on a forthcoming full length solo album. \n \n© Autumn de Wilde URL:https://www.roseyconcerthall.ch/event/pink-martini/ LOCATION:Rosey Concert Hall\, Le Rosey\, Rolle\, 1180\, Suisse CATEGORIES:Concert ATTACH;FMTTYPE=image/jpeg:https://www.roseyconcerthall.ch/wp-content/uploads/2019/05/Pink_Martini_copyright-1.jpg GEO:46.4598076;6.3275569 X-APPLE-STRUCTURED-LOCATION;VALUE=URI;X-ADDRESS=Rosey Concert Hall Le Rosey Rolle 1180 Suisse;X-APPLE-RADIUS=500;X-TITLE=Le Rosey:geo:6.3275569,46.4598076 END:VEVENT BEGIN:VEVENT DTSTART;TZID=Europe/Helsinki:20220923T201500 DTEND;TZID=Europe/Helsinki:20220923T221500 DTSTAMP:20250502T174048 CREATED:20220620T105940Z LAST-MODIFIED:20220922T140007Z UID:10000232-1663964100-1663971300@www.roseyconcerthall.ch SUMMARY:MÜNCHNER PHILHARMONIKER DESCRIPTION:MÜNCHNER PHILHARMONIKER\nDirection : Lahav Shani\nPiano : Anastasia Voltchok\n\n\nLe Münchner Philarmoniker\, l’un des plus grands orchestres européens. Il manquait encore à l’appel des orchestres philharmoniques qui se sont succédé au fil des saisons. Après le Royal Philharmonic Orchestra\, l’Orchestre Philharmonique de St-Petersbourg\, les Berliner Philharmoniker\, le Mariinsky\, l’Orchestre National de France et naturellement l’OSR- pour ne citer qu’eux- nous sommes très heureux d’accueillir la célèbre formation allemande. \nMarie-Noëlle Tirogalas \n\nPROGRAMME\nAntonín Dvořák (1841-1904)\nConcert Overture « Carnival »\, Op. 92 \nMaurice Ravel (1875-1937)\nConcerto pour piano en sol majeur \nHector Berlioz (1803-1869)\nSymphonie fantastique \n  \n\n \n\n© Judith Buss \n  \n\n\nMünchner Philharmoniker\nThe Munich Philharmonic was founded in 1893\, and since then\, under the direction of renowned conductors\, it has vastly enriched Munich’s musical life. Gustav Mahler conducted the orchestra in the world premières of his 4th and 8th Symphonies\, and in November 1911\, the world première of Mahler’s « Das Lied von der Erde » took place under Bruno Walter’s direction. Ferdinand Löwe led the first Bruckner concerts and established the orchestra’s Bruckner tradition\, which was then gloriously continued by Siegmund von Hausegger and Oswald von Kabasta. \nDuring the Rudolf Kempe era the Philharmonic made its first tour to what was then the U.S.S.R. The legendary Bruckner concerts with general music director Sergiu Celibidache made a major contribution to the orchestra’s international reputation. The Munich Philharmonic made Zubin Mehta the first « conductor laureate » in the orchestra’s history. For the 100th anniversary of the première of Gustav Mahler’s Symphony No. 8 in Munich\, chief conductor Christian Thielemann conducted two performances of this work. He was succeeded as chief conductor by Lorin Maazel\, who held the position until his death in 2014. \nFrom 2015 to 2022 the position of chief conductor of the Munich Philharmonic was held by Valery Gergiev. Programme highlights conceived by Valery Gergiev include performances of symphonic cycles by Shostakovich\, Stravinsky\, Prokofiev and Rachmaninov as well as new formats\, such as the « MPHIL 360° » festival. In September 2016\, the first CD recordings documenting the Munich Philharmonic’s work were released under the orchestra’s own label\, « MPHIL ». From 2017 to 2019\, the Munich Philharmonic and Valery Gergiev recorded all of Anton Bruckner’s symphonies in the basilica of St. Florian Monastery\, Anton Bruckner’s final resting place. \nWith »Spielfeld Klassik«\, the Munich Philharmonic has developed a comprehensive music education programme for young and old. Up to 35\,000 people of all ages attended the more than 150 events held each year. \nOn 13 October 2018 the Munich Philharmonic and Valery Gergiev celebrated the 125th anniversary of the Munich Philharmonic by performing Igor Strawinsky’s « Symphonie de Psaumes » and Gustav Mahler’s Symphony No. 8. In October 2021\, the Munich Philharmonic inaugurated the Isarphilharmonie – the orchestra’s new home and concert hall while the Gasteig is being renovated. The hall was designed by architects « Gerkan\, Marg und Partner »\, with the acoustics designed by Yasuhisa Toyota and his company\nNagata Acoustics. True to the Munich Philharmonics’ new motto\, « Being approachable and breaking new ground«\, the orchestra is expanding its festival programme and will create new points of access for audiences with formats such as « MPHIL late »\, « NACHtKLANG » and « Wandelkonzerte » to be held regularly from now on. \n\n\n\n\n\n\nLahav Shani\nIn the 18/19 season\, Lahav Shani took over from Yannick Nézet-Séguin as Chief Conductor of the Rotterdam Philharmonic Orchestra. From the 20/21 season he is the Music Director of the Israel Philharmonic Orchestra\, taking over from Zubin Mehta who held the appointment for 50 years. From the 17/18 season until summer 20 Shani was also Principal Guest Conductor of the Vienna Symphony Orchestra. \nIn June 2016 Shani debuted with the Rotterdam Philharmonic Orchestra as conductor and solo pianist. No less than two months later\, his appointment as Chief Conductor was announced and he became the youngest conductor to hold the position in the orchestra’s history. The Rotterdam Philharmonic with Shani have an exclusive recording contract with Warner Classics. \nShani’s close relationship with the Israel Philharmonic Orchestra began well over 10 years ago. He debuted with the orchestra aged sixteen\, and in 2007 performed Tchaikovsky Piano Concerto under the baton of Zubin Mehta aged eighteen. He then went on to play regularly with the orchestra as a double bassist. In 2013\, after winning the Gustav Mahler International Conducting Competition in Bamberg\, the orchestra invited him to step in to conduct their season-opening concerts. Since then\, he has returned to the orchestra every year as both a conductor and pianist. \nRecent and upcoming guest conductor highlights include engagements with Wiener Philharmoniker\, Berliner Philharmoniker\, Gewandhaus Orchester\, Symphonieorchester des Bayerischen Rundfunks\, London Symphony Orchestra\, Filarmonica della Scala\, Boston Symphony Orchestra\, Royal Concertgebouw Orchestra\, Philadelphia Orchestra\, Budapest Festival Orchestra\, Orchestre de Paris and Philharmonia Orchestra. \nBorn in Tel Aviv in 1989\, Shani began his piano studies aged six with Hannah Shalgi\, before continuing with Prof. Arie Vardi at the Buchmann-Mehta School of Music. He went on to study conducting under Prof. Christian Ehwald and piano with Prof. Fabio Bidini at the Academy of Music Hanns Eisler\, Berlin and was mentored by Daniel Barenboim during his time there. As a pianist\, Shani has performed as a soloist with Daniel Barenboim\, Zubin Mehta\,Gianandrea Noseda and Valery Gergiev. He has play-directed piano concerti with many orchestras including the Vienna Philharmonic\, Philharmonia Orchestra\, Staatskapelle Berlin and Royal Concertgebouw Orchestra. Shani also has considerable experience performing chamber music and in recital and is a regular performer at the Verbier Festival\, and has also appeared at the Aix-en-Provence Easter and Jerusalem Chamber Music Festivals. \n \n\n© Marco Borggreve \n  \n\n\nAnastasia Voltchok\n« Le jeu d’Anastasia Voltchok est puissant\, vigoureux et volcanique. Non seulement sa technique semble être sans limites\, mais il semble que l’esprit de Richter soit dans la salle. » \nRocco Zacheo\, Le Temps\, Genève. \nCette artiste polyvalente a obtenu un doctorat en arts musicaux de l’université du Maryland et la médaille d’or au Concours international de piano de Cincinnati en 2003. Elle naît dans une famille de musiciens professionnels dont la tradition musicale remonte à son grand-père\, le fameux baryton ukrainien Sergiy Kozak. Anastasia Voltchok mène une vie marquée par la musique\, les beaux-arts et une vision ouverte du monde. Parmi ses mentors et ses professeurs figurent Larissa Dedova\, Rudolf Buchbinder\, André Watts et Santiago Rodriguez. \nDepuis ses débuts orchestraux à l’âge de huit ans dans un concerto de Haydn\, Anastasia Voltchok s’est produite dans toute l’Europe occidentale et orientale\, ainsi qu’aux États-Unis\, Elle joue notamment avec l’Indianapolis Symphony Orchestra\, l’Orchestre du Théâtre Mariinsky\, le Bamberger Symphoniker\, le Symphoniker Hamburg\, l’Orchestra della Svizzera italiana\, l’Orquesta Sinfónica de Navarra\, le Kremerata Baltica et l’Orquestra Sinfônica do Estado de São Paulo. \nAnastasia Voltchok collabore étroitement avec des chefs d’orchestres et des solistes\, tels que Dennis Russell Davies\, Valery Gergiev\, Roman Kofman\, Gidon Kremer et Martha Argerich. \nAnastasia Voltchok est régulièrement invitée à jouer en récital\, notamment au Lincoln Center de New York\, à la Tonhalle de Zurich\, à la Sala Santa Cecilia de Rome\, au Victoria Hall de Genève et à la Fondation Gulbenkian de Lisbonne. \nSes concerts ont été diffusés partout en Europe et aux Etats-Unis. Anastasia Voltchok a enregistré chez Novalis\, Solo Musica et Genuin. \n \n© Anne-Laure Lechat \n  URL:https://www.roseyconcerthall.ch/event/munchner-philharmoniker/ LOCATION:Rosey Concert Hall\, Le Rosey\, Rolle\, 1180\, Suisse CATEGORIES:Concert ATTACH;FMTTYPE=image/png:https://www.roseyconcerthall.ch/wp-content/uploads/2022/06/Munchner-Philharmoniker.png GEO:46.4598076;6.3275569 X-APPLE-STRUCTURED-LOCATION;VALUE=URI;X-ADDRESS=Rosey Concert Hall Le Rosey Rolle 1180 Suisse;X-APPLE-RADIUS=500;X-TITLE=Le Rosey:geo:6.3275569,46.4598076 END:VEVENT BEGIN:VEVENT DTSTART;TZID=Europe/Helsinki:20220901T201500 DTEND;TZID=Europe/Helsinki:20220901T220000 DTSTAMP:20250502T174048 CREATED:20220620T092526Z LAST-MODIFIED:20220624T072141Z UID:10000230-1662063300-1662069600@www.roseyconcerthall.ch SUMMARY:MORCHEEBA DESCRIPTION:MORCHEEBA\n« BLACKEST BLUE »\n  \n\n\nLe concert de rentrée en fanfare\, auquel tous les Roséens assistent\, lance notre neuvième saison sur des airs trip-hop\, soul et pop ! Une invitation à se laisser porter par des sonorités différentes au rythme soutenu. \n  \nMarie-Noëlle Tirogalas \n\nPROGRAMME\n \n©Michelle Hayward \n\n\nMorcheeba\nIn March 2020\, Skye and Ross were nearing the end of another long tour – they can go years without visiting the same country twice – and the diary suddenly emptied. The pair are used to spending most of each year on the road. Once\, they’d only play countries where their record company had an outpost. Now\, they can see from the streaming platforms where people are listening and travel there to play. \n  \n“Cape Town was amazing\,” remembers Ross of their 2018 South African gig. “We played at the beautiful Kirstenbosch Gardens in Cape Town with Table Mountain as the perfect backdrop. We had 5\,000 people all singing along. North Africa\, central America too. We try to get around the world as much as possible and love playing new places.” \n  \nTourbus parked\, they began writing what became their tenth album ‘Blackest Blue’. By December 2020\, they’d finished 10 lustrous new songs touching on disintegrating familial and romantic relationships\, love and kinship\, the world around and the consolations of cannabis. On tour\, Morcheeba is Skye (vocals)\, Ross (guitar)\, Dom Pipkin (keys)\, Skye’s husband Steve Gordon (bass) and Skye’s eldest son Jaega Mckenna-Gordon (drums). In the studio it’s mostly just Skye and Ross – he plays guitar\, lap steel\, bass\, keyboards and percussion. Skye started playing the cello during lockdown\, whenever she had a little time to herself. “It’s an instrument I’ve always wanted to learn ». Ross encouraged her to play it on the album and she does on ‘Falling Skies’. \n  \nRoss found lockdown idyllic at first. Writing on an acoustic guitar\, sending ideas between his and Skye’s home studios in south London and Surrey. Spending time with his wife and kids\, reading books about forests\, psychedelic plants and quantum physics. “I had more time to play guitar\,” he says happily. “It put me back in touch with feelings I hadn’t had since I was a teenager. When I started playing as a kid\, it was a solitary thing\, a meditation to transcend whatever shitty time I was going through”. \n  \nThe duo let go\, writing and playing what they felt like. “I had a poem I’d written about my free diving experience in Thailand\,” Skye says about lead single Sounds of Blue. “‘Oh Oh Yeah’ is a song about getting stoned. Back in the day we didn’t think about singles and the ‘need to hear the chorus in 30 seconds’. You’d have seven\, eight-minute songs. So we went for it.” \n  \n“We’re always trying to find a sound that already should have existed but didn’t\,” explains Ross. “A song that went missing sometime in 1969\, an obscure Morricone-esque soundtrack… Skye sounds like sweet molasses\, so we wanted to mix that with a gravelly male voice as a contrast.” \n  \nFalling for the rich\, traditional yet modern quality of American folk group The Barr Brothers after seeing them live a couple of times\, Ross contacted singer Brad Barr\, sharing a few ideas before alighting on a sketch of a gorgeous piano ballad that became ‘Say It’s Over’. Brad came with the first two lines\, and said “…it is fair to say it’s a breakup song…” \n  \nThen Ross was listening to the radio and heard a song so good he had to pull the car over to Shazam it. “It sounded like an old Mississippi blues record!” It was singer-songwriter Duke Garwood. Ross enlisted him for the closing duet ‘The Edge of the World’. “Duke’s voice is very deep and rich which suited it perfectly. We wanted that kind of voodoo vibe\,” Ross enthuses. “He makes most of his records in the Mojave Desert with Mark Lanegan but he’s from Hastings.” \n  \n‘The  Moon’  is  a  cover  originally  by  Irena  Žilić\,  a  Croatian singer-songwriter. Ross fell in love with the song when they shared a bill in Zagreb with Irena and asked her permission to cover it. Skye added another verse to it and that is where the album title ‘Blackest Blue’ came from. \nPerhaps Skye’s gloriously unruffled vocal tone means some people don’t catch the darkness in lyrics like; “Put your knife away\, I’ve already cut my heart out”\, from the album opener or the despairing; “Ain’t gonna lie\, feel like I wanna die”\, from ‘Killed Our Love’. There’s plenty of hurt that walks with the hope when Skye sings. \n  \nThe band saw intense protesting up close in Chile\, first stop on their 2019 south American tour. Skye and Steve were sightseeing in Santiago on the afternoon of the gig\, moving through the estallido social\, a noisy but good-natured demonstration against social inequality. As day dimmed into night\, the protest darkened into rioting. Peaceful banging of pots and pans became soldiers firing rubber bullets and tear gas at protestors. There were already too many fans queuing at the venue to cancel the gig. And no way to get there but on foot\, through the fires and riot police\, past the burned-out buses blocking the roads\, even though Skye’s son was recovering from a broken ankle. Weeks later\, he’d get stopped by security at Gatwick when they found traces of explosives from the riot on his crutches. “I walked with my dress over my face\,” Skye says; “our local rep was obviously panicked\, which made me even more nervous. My heart was racing\, my eyes sore from the tear gas.” \n  \nDespite the chaos\, the gig went well\, charged by a strange and surreal energy. By the end\, all the roads around the venue were shut and filled with armoured vehicles\, so the band played on\, taking requests from the fans\, then everyone hung out until it was safe to leave. It reminded them that\, whatever happens in the world outside\, there’s nothing like the healing power of music to bring us all together. \n  \nWhen Skye was writing lyrics for ‘Falling Skies’\, she was thinking about her family\, Black Lives Matter and the very white village they’ve made a home in. “I don’t know if it was paranoia\,” she says; “but I looked at people and wondered\, do you hate black people? It made me a lot more aware of where I was living. Having chats with the other black family in the village\, wondering if we should move somewhere that had more diversity.” \n  \nSkye was brought up by white parents in East London\, supposedly temporarily\, but she was never able to go back to her biological mum. “I was six weeks old when I came to my foster parents.” Skye had a happy childhood\, although growing up in a white family made her aware of race in a way that most children never are. “I always felt like apologising for being black\,” she remembers. “Wanting not to alienate white people. I was a quiet child growing up. Studying fashion helped to bring me out of myself.” \n  \nIt was 1994 when Ross met east Londoner Skye at a party\, she ended up dating his mate who mentioned that Skye could sing. Skye was not happy about it. “Why did you tell them I could sing?!” Her only experience was a local singing class\, some backing vocals in a funk band\, and one try at busking in Covent Garden. She wasn’t ready to sing into a microphone\, or in front of people – but it was a chance remark that changed their lives. Ross and his brother Paul wrote and recorded their debut single ‘Trigger Hippie’ with Skye which effectively started the group Morcheeba as a trio and got them an indie record deal. They released the acclaimed debut album ‘Who Can You Trust?’ in 1996 and inevitably started playing live with a first gig at The Jazz Cafe in London. \n  \nOver the next few years the band went global with ‘Big Calm’ (1998)\, ‘Fragments of Freedom’ (2000) and ‘Charango’ (2002) and the brilliance of signature songs ‘The Sea’ and ‘Rome Wasn’t Built In A Day’. They produced an album for Talking Heads legend David Byrne\, got film soundtrack work from Morcheeba fan and Oscar-winning director Steven Soderbergh and in 2003 were the first western band to do a full tour of China. But Skye was ousted from the band that year when Ross’ brother DJ/producer Paul wanted to change direction\, and she didn’t feature on ‘The Antidote’ (2005) or ‘Dive Deep’ (2008). \nMeanwhile\, Ross moved to LA in 2006 and built a studio in the Hollywood Hills for recording with Morcheeba and soundtrack productions. “I spent a lot of time out in the desert taking psychedelics and living out some acid rock fantasy\,” he concedes. After releasing two solo albums ‘Mind How You Go’ and ‘Keeping Secrets’\, Skye agreed to return to Morcheeba in 2009. The albums ‘Blood Like Lemonade’ (2010) and ‘Head Up High’ (2013) followed. Paul then left in 2015 turning the band into a duo. \n  \nSince then the pair have become closer and they got back to work\, first making an album as Skye & Ross\, then ‘Blaze Away’ (2018) as Morcheeba. “The connection we have now is great\,” Skye reveals. “We understand each other\, and we’re both hard working. Our agent might say\, ‘oh it’s a gruelling schedule\, sometimes five gigs in a row…’ and we’ll both immediately say YES!” \n  \nUltimately\, « Blackest Blue is about finding a way through the darkest of times and emerging the other side changed but intact. » URL:https://www.roseyconcerthall.ch/event/morcheeba-blackest-blue/ LOCATION:Rosey Concert Hall\, Le Rosey\, Rolle\, 1180\, Suisse CATEGORIES:Concert ATTACH;FMTTYPE=image/png:https://www.roseyconcerthall.ch/wp-content/uploads/2022/06/Morcheeba-Banner-RCH-Web.png GEO:46.4598076;6.3275569 X-APPLE-STRUCTURED-LOCATION;VALUE=URI;X-ADDRESS=Rosey Concert Hall Le Rosey Rolle 1180 Suisse;X-APPLE-RADIUS=500;X-TITLE=Le Rosey:geo:6.3275569,46.4598076 END:VEVENT BEGIN:VEVENT DTSTART;TZID=Europe/Helsinki:20220520T201500 DTEND;TZID=Europe/Helsinki:20220520T220000 DTSTAMP:20250502T174048 CREATED:20210608T080221Z LAST-MODIFIED:20220620T115530Z UID:10000226-1653077700-1653084000@www.roseyconcerthall.ch SUMMARY:ORCHESTRE SYMPHONIQUE SUISSE DES JEUNES DESCRIPTION:Orchestre Symphonique\nSuisse des Jeunes\nDirection : Kai Bumann\nViolon : Daniel Lozakovich\n\n\nL’Orchestre Symphonique Suisse des Jeunes est un orchestre comme aucun autre : des jeunes musiciens extrêmement brillants\, de 15 à 25 ans\, se réunissent pour deux tournées annuelles\, offrant à la musique classique sa relève. \nNous sommes particulièrement heureux de les accueillir au Rosey Concert Hall avec\, en soliste\, notre ami\, jeune violoniste prodige Daniel Lozakovich\, dont la brillante carrière est une source d’inspiration. \nMarie-Noëlle Tirogalas \n\nPROGRAMME\nPiotr Ilitch Tchaïkovski (1840-1893)\nConcerto pour violon en Ré majeur op. 35 \n\nBéla Bartók (1881-1945)\nConcerto pour orchestre \n \n\nL'Orchestre Suisse Symphonique des Jeunes\nDepuis plus de cinquante ans\, l’Orchestre Symphonique Suisse des Jeunes (OSSJ) allie talent et passion en réunissant de jeunes musicien·ne·s de toute la Suisse. Cela en fait une des rares organisations culturelles suisses actives sur le plan national. \nL’Orchestre Symphonique Suisse des Jeunes est un orchestre exceptionnel : jusqu’à cent jeunes musiciens âgés de 15 à 25 ans\, venant des quatre coins de la Suisse\, se réunissent sous la baguette du chef de renommée internationale\, Kai Bumann\, afin d’interpréter des œuvres exigeantes\, recouvrant toutes les périodes de la musique classique. \nLors des répétitions et des concerts\, les talentueux jeunes musiciens se forgent une précieuse expérience d’orchestre\, qui marquera de façon durable le reste de leur carrière. Ainsi beaucoup d’anciens membres de l’OSSJ occupent aujourd’hui un poste dans un orchestre professionnel renommé. La grande diversité́ de langues présente à l’OSSJ permet également de tisser des liens entre les différents cercles culturels suisses. Durant ses tournées de printemps et d’automne\, comptant chacune six à sept concerts dans toute la Suisse\, l’Orchestre Symphonique Suisse des Jeunes s’efforce de charmer le public\, toujours à reconquérir\, et d’enthousiasmer les médias. C’est grâce au soutien financier de l’État\, des cantons\, communes\, entreprises\, associations privées et mécènes que cette plateforme unique peut être mise à disposition des musiciens. À travers ce phénoménal encouragement de la relève dans le domaine de la musique classique\, l’OSSJ apporte une contribution non-négligeable à la culture et à la formation en Suisse. \n\n\nKai Bumann\nNé en 1961 à Berlin\, Kai Bumann débute sa carrière scénique en 1986\, à la suite de ses études – il est co-répétiteur dans un premier temps à Trèves\, puis dès 1988 à Freiburg. En 1989\, il devient premier Kapellmeister au Landestheater de Detmold\, où il occupe la place de directeur musical ad intérim en 1992/1993. Pendant la saison 1996/1997\, il est engagé au Staatstheater Wiesbaden. En 1997\, le Staatsoper de Cracovie le nomme chef titulaire. En 1998\, Bumann fait ses débuts au Deutschen Oper de Berlin. Il dirige en 2003 la première du « Falstaff » de Verdi à l’opéra de chambre de Varsovie et occupe le poste de directeur musical dans cette institution jusqu’en été 2013. \nEn 1994\, Bumann obtient le deuxième prix de direction au concours international d’exécution musicale de Genève (CIEM). Peu de temps après\, son activité en Pologne s’intensifie et il se produit dès lors régulièrement dans toutes les grandes villes du pays. \nDe la saison 2008/2009 à l’été 2012\, il occupe le poste de chef titulaire et de directeur artistique de la Philharmonie de Danzig. Entre 2013 et 2016\, il est chef invité de la Philharmonie de Lodz. Au commencement de la saison 2015/2016\, Kai Bumann devient chef titulaire des deux orchestres de la philharmonie de Bydgoszcz (Bromberg). Il est également professeur à l’Académie de musique de Gdansk\, où il se plait à enseigner à de jeunes chefs prometteurs. \nKai Bumann dirige l’Orchestre Symphonique Suisse des Jeunes depuis 1998. \n\nDistribution\nViolon 1\nBeatrice Alice Harmon (Bâle/Zurich)\, premier violon \nAline Brunner (Münchenstein) \nWojciech Chmielewski (Bern) \nShirin de Viragh (Zollikon) \nSelina Frei (Rüti/ZH) \nMarius Gruffel (Perly) \nSusanne Isenberg (Sion) \nFilippo Jakova (Lugano) \nAlexis Mauritz (Lausanne) \nStefanie Müller (Luzern) \nClaire Nendaz (Sion) \nNaomi Onaka (Winterthur) \nLivia Unternährer (Buttisholz) \nSara Voegeli \nJonathan Zipperle (Menziken) \nViolon 2\nSophia Tankosic (Meilen)\, cheffe d’attaque \nAude Chappuis (Bretonnières) \nLea Frei (Rüti/ZH) \nSarah Hirschi (Adligenswil) \nMelanie Krebser (Kriens) \nGina Lanzrein (Moosseedorf) \nEmilie Merten (Bannwil) \nAline Sarah Müller (Berne) \nMika Ruckstuhl (Petit-Lancy/GE) \nFiore Streit (Berne) \nEmilie Tâche (Bâle) \nLázár Tóth \nSara Walser (Laupersdorf) \nAlto\nCoralie Tschanz (Châbles/Zurich)\, cheffe d’attaque \nCéleste Bouillet \nYunan Chen (Bâle) \nLior Kamanga (Lucerne) \nMira Maranta (Lucerne) \nNina Mayer (Grolley) \nNaomi Spicher (Corcelles-près-Payerne) \nBea Steinbach (Kriens) \nCamille Stromboni \nAntoine Thévoz (Penthalaz) \nHanna Werner (Tägertschi) \nVioloncelle\nCamille Thévoz (Penthalaz)\, cheffe d’attaque \nMarie Ausländer (Lausanne) \nGiulietta Di Marco (Lausanne) \nHélène François (Lausanne) \nClaire Heinrich (Lausanne) \nAlina Mayer Whitla (Basel) \nFrancisca Parente (Genève) \nDavid Pfistner (Luzern) \nDélia Phan (Lausanne) \nJuliette Rochat (Pully) \nContrebasse\nJoël Küchler (Einsiedeln)\, chef d’attaque \nJuliana Gonçalves (Lausanne) \nLia Neff \nLina Sophia Obertanner (Zurich) \nArthur Popescu \nFlûte\nMarta Dzieciol (Bâle) \nJoana Fernandes (Bâle) \nGinestra Spadari (Genève) \nIker Sáez-Liébana (Zurich) \nHautbois\nPietro Bodini (Lugano) \nManuel Nunes (Zurich) \nElisa Olmeda (Bâle) \nClarinette\nAntony Burkhard (Zurich) \nGabriel Pernet (Bex) \nPatricia Sa Duarte (Bâle) \nMarco Sousa (Massagno) \nBasson\nSimon Demangeat (Gaillard) \nRé Minart-Warscott (Annemasse) \nJoana Rocha (Genève) \nCor\nPhilippe Hess (Bâle) \nMaurin Jenni (Schüpfheim) \nMaxime Lambert (Grolley) \nAndré Marques \nNils Wiesli (Kriens) \nTrompette\nJon Flurin Buchli (Lucerne) \nRodrigo Machado (Zurich) \nJonas Wilhalm (Birsfelden) \nMaria Zumbrunn (Wittinsburg) \nTrombone\nRomain Nussbaumer (Olten) \nElias Schäfer (Meilen) \nGian Marco Simonett (Langenthal) \nTuba\nMathieu Saá Tejada \nPercussion\nCamille Cossy (Bex) \nCharles de Ceuninck (Carouge) \nHarpe\nMarlene Andersson (Lausanne) \nEloïse Fares (Ambilly) \n\nDaniel Lozakovich\nDaniel Lozakovich\, dont les interprétations majestueuses laisse les critiques et le public sous le charme\, est né à Stockholm en 2001 et a commencé le violon peu avant sept ans. Il a fait ses débuts de soliste deux ans plus tard avec l’Orchestre de chambre des Virtuoses de Moscou et Vladimir Spivakov à Moscou et s’est rapidement produit avec\, entre autres\, le Royal Stokholm Philharmonic\, le Moscou Philharmonic et le Royal Liverpool Philharmonic\, l’Orchestre national de France et l’Orchestre symphonique de la radio suédoise. \nDepuis\, Daniel a travaillé régulièrement avec d’autres orchestres de premier plan comme l’Orchestre de la Suisse Romande\, l’Orchestre national du Capitole de Toulouse\, l’Orchestre symphonique de Göteborg\, l’Orchestra Sinfonica Nazionale della Rai et l’Orchester der Komischen Oper Berlin\, ainsi qu’avec certains des chefs les plus éminents\, notamment Vasily Petrenko\, Leonard Slatkin\, Andris Nelsons\, Semyon Bychkov\, Neeme Järvi\, Klaus Mäkelä\, Robin Ticciati et Lahav Shani. Ses partenaires de musique de chambre\, quant à eux\, incluent Emanuel Ax\, Khatia Buniatishvili\, Seong-Jin Cho\, Sergei Babayan\, Martin Fröst\, Renaud Capuçon\, Daniel Hope\, Shlomo Mintz et Maxim Vengerov. \nLe monde du violon bourdonnait de nouvelles sur l’étonnant jeune suédois bien avant que Daniel ne fasse sa percée internationale en mai 2016\, lorsqu’il a fait la une des journaux du monde entier comme lauréat du Concours international de violon Vladimir Spivakov et\, peu après\, en tant que soliste de retour avec l’Orchestre du Mariinsky sous la direction de Valery Gergiev lors du concert de clôture du XVe Festival de Pâques de Moscou. Il a signé un contrat exclusif avec Deutsche Grammophon en juin 2016\, peu après son 15e anniversaire. Cet accord a fait de lui le plus jeune membre de la famille d’artistes de DG. Il a également renforcé son statut de virtuose unique en son genre\, doté d’une gamme d’expression et de musicalité envoûtante. \nPeu avant de signer avec le label jaune\, Daniel Hope\, un autre artiste de DG\, a invité Daniel Lozakovich à se joindre à lui pour enregistrer une sélection de Duos pour deux violons de Bartók pour l’album My Tribute to Yehudi Menuhin de Hope. Le premier enregistrement complet de Lozakovich pour Deutsche Grammophon\, réalisé avec le Kammerorchester des Symphonieorchesters des Bayerischen Rundfunks\, est sorti en juin 2018 et comprend les deux concertos pour violon de Bach (BWV 1041 et 1042)\, ainsi que sa Partita n°2 en ré mineur BWV 1004 pour violon seul. Son premier album a connu un grand succès\, atteignant la première place du classement Amazon français (toutes catégories musicales confondues) et la première place du classement des albums classiques en Allemagne. \nNone but the Lonely Heart\, le deuxième album de Lozakovich\, est sorti en octobre 2019. Consacré à Tchaïkovski\, il comprend le concerto pour violon\, enregistré en direct avec l’Orchestre national philharmonique de Russie et Spivakov ( » une lecture engagée\, retenue et profonde\, d’une musicalité sans égale « \, classiquenews.com)\, la Méditation pour violon et orchestre et des arrangements de deux œuvres vocales\, l’air de Lensky dans Eugène Onéguine et la chanson dont l’album tire son nom : la Romance Op.6 n°6\,  » None but the lonely heart « . \nPour son dernier album\, Daniel s’est associé à son mentor Gergiev et aux Münchner Philharmoniker pour célébrer le 250e anniversaire de la naissance de Beethoven avec un enregistrement sur le vif de son concerto pour violon\, une œuvre qu’il considère comme « le plus grand concerto jamais écrit ». Disponible en vidéo e-album depuis le 5 juin 2020\, l’enregistrement est prévu pour une sortie en CD et en e-album le 21 août. \nAprès avoir commencé la saison 2019-20 en interprétant le deuxième concerto pour violon de Prokofiev avec l’Orchestre Mariinsky et Gergiev à Montreux et le concerto pour violon n° 1 de Bruch avec le RTÉ National Symphony Orchestra et Nathalie Stutzmann à Dublin\, Daniel s’est ensuite rendu aux États-Unis pour faire des débuts très attendus avec le LA Philharmonic et Esa-Pekka Salonen\, avec trois interprétations du concerto de Tchaïkovski. En novembre\, il est retourné aux États-Unis pour redonner cette œuvre et a fait ses débuts dans la série d’abonnement avec l’Orchestre symphonique de Boston sous la direction de Nelsons\, avant d’interpréter ce même concerto à Toronto et au Gulbenkian à Lisbonne. Il a terminé l’année 2019 par une série de concerts à Munich et Amsterdam\, dans le concerto de Beethoven avec le Philharmonique de Munich et Gergiev. En février 2020\, il a fait ses débuts avec l’Orchestre de Paris dirigé par Christoph Eschenbach en donnant deux fois le concerto de Mendelssohn lors des concerts de clôture du Festival international de musique des Canaries. \nLa saison prochaine\, il se produira notamment au Festival de Tsinandali en Géorgie\, avec le concerto de Tchaïkovski avec l’Orchestre national de France\, le Philharmonia Orchestra\, l’Utah Symphony et l’Orchestre métropolitain\, avec le concerto de Beethoven avec le Wiener Kammerorchester et l’Orchestre symphonique de Pittsburgh\, et le concerto de Mendelssohn avec le Gewandhausorchester de Leipzig. \nOutre sa victoire au Concours Spivakov\, Daniel Lozakovich a remporté de nombreux prix\, notamment le prix du « Jeune artiste de l’année » 2017 au Festival des Nations (Allemagne)\, le prix du « Jeune talent » 2017 aux Premios Excelentia (Espagne) et le prix du « Jeune artiste prometteur » 2019 aux Premios Batuta (Mexique). \nIl a commencé à étudier avec le professeur Josef Rissin à l’Université de musique de Karlsruhe en 2012 et\, depuis 2015\, il est encadré par Eduard Wulfson à Genève. Il joue à la fois le Stradivarius  » ex-Baron Rothschild « \, généreusement prêté au nom du propriétaire par Reuning & Son (Boston) et Eduard Wulfson\, et le Stradivarius Le Reynier (1727)\, aimablement prêté par le groupe LVMH. URL:https://www.roseyconcerthall.ch/event/orchestre-symphonique-suisse-des-jeunes/ LOCATION:Rosey Concert Hall\, Le Rosey\, Rolle\, 1180\, Suisse CATEGORIES:Concert ATTACH;FMTTYPE=image/jpeg:https://www.roseyconcerthall.ch/wp-content/uploads/2021/06/bandeau_event_ossj.jpg GEO:46.4598076;6.3275569 X-APPLE-STRUCTURED-LOCATION;VALUE=URI;X-ADDRESS=Rosey Concert Hall Le Rosey Rolle 1180 Suisse;X-APPLE-RADIUS=500;X-TITLE=Le Rosey:geo:6.3275569,46.4598076 END:VEVENT BEGIN:VEVENT DTSTART;TZID=Europe/Helsinki:20220510T201500 DTEND;TZID=Europe/Helsinki:20220510T223000 DTSTAMP:20250502T174048 CREATED:20200629T135327Z LAST-MODIFIED:20220509T122830Z UID:10000221-1652213700-1652221800@www.roseyconcerthall.ch SUMMARY:BÉJART BALLET LAUSANNE – COMPLET DESCRIPTION:BÉJART BALLET LAUSANNE\n– Complet –\nLe Presbytère n’a rien perdu de son charme\, ni le jardin de son éclat\nChorégraphie Maurice Béjart \nMusique Queen\, Wolfgang Amadeus Mozart \nCréation costumes Gianni Versace \nCréation lumière Clément Cayrol \nRéalisation lumière Dominique Roman \nMontage vidéo Germaine Cohen \nPremière Salle Métropole\, Lausanne – 15 décembre 1996\nReprise Teatro Comunale\, Vicence – 8 mars 2008 \n\nLe spectacle du Béjart Ballet Lausanne\, véritable référence dans le monde chorégraphique\, est époustouflant : une chorégraphie de Maurice Béjart sur la musique de Queen et de Mozart en hommage au danseur Jorge Donn et à Freddy Mercury\, morts tous les deux du Sida à 45 ans. \nUn hymne à l’amour\, à la passion\, un combat pour la vie et un pied de nez au coronavirus.  \nMarie-Noëlle Tirogalas  \n\nIl y a un peu plus de trente ans\, au milieu de la surprenante musique de Berlioz entrecoupée de bombardements et de bruits de mitrailleuses\, un Frère Laurent peu conventionnel s’écriait devant Jorge Donn et Hitomi Asakawa : « Faites l’amour\, pas la guerre ! ». \nAujourd’hui\, Gil Roman\, qui a à peu près l’âge de la création de mon Roméo et Juliette\, entouré de danseurs qui n’ont jamais vu ce ballet répond : « Vous nous avez dit : faites l’amour\, pas la guerre. Nous avons fait l’amour\, pourquoi l’amour nous fait-il la guerre ? ». \nCri d’angoisse d’une jeunesse pour laquelle le problème de la mort par l’amour s’ajoute à celui des guerres multiples qui n’ont pas cessé dans le monde depuis la soi-disant FIN de la dernière guerre mondiale ! \nMes ballets sont avant tout des rencontres : avec une musique\, avec la vie\, avec la mort\, avec l’amour… avec des êtres dont le passé et l’œuvre se réincarnent en moi\, de même que le danseur que je ne suis plus\, se réincarne à chaque fois en des interprètes qui le dépassent. \nCoup de foudre pour la musique de Queen. Invention\, violence\, humour\, amour\, tout est là. Je les aime\, ils m’inspirent\, ils me guident et\, de temps en temps dans ce no man’s land où nous irons tous un jour\, Freddie Mercury\, j’en suis sûr\, se met au piano avec Mozart. \nUn ballet sur la jeunesse et l’espoir puisque\, indécrottable\, optimiste\, je crois aussi malgré tout que the show must go on\, comme le chante Queen. \nMaurice Béjart \n\n©François Paolini\n  \n\nDistribution\nIT’S A BEAUTIFUL DAY\nTIME/LET ME LIVE Toute la compagnie \nFREDDIE Angelo Perfido \nBRIGHTON ROCK Min Kyung Lee\, Carme Andres\, Fabrice Gallarrague\, Mari Ohashi\, Dorian Browne\, Chiara Posca\, Masayoshi Onuki \nHEAVEN FOR EVERYONE Mattia Galiotto\, Dorian Browne\nL’ANGE  Paolo Randon \nI WAS BORN TO LOVE YOU Valerija Frank\nLA MARIÉE  Floriane Bigeon\nL’ANGE  Antoine Le Moal \nMOZART – COSI FAN TUTTE Mari Ohashi\, Dorian Browne\, Chiara Posca\, Masayoshi Onuki \nA KIND OF MAGIC Andrea Luzi\, Denovane Victoire\, Mattia Galiotto\, Clara Boitet\, Alessandro Cavallo\, Cyprien Bouvier\, Angelo Perfido (Freddie)\, Javier Casado Suárez\, Hideo Kishimoto\, Fabrice Gallarrague\, Kwinten Guilliams\, Vito Pansini\, Leroy Mokgatle\, Federico Matetich \nMOZART / THAMOS OUVERTURE Dorian Browne \nGET DOWN MAKE LOVE Mari Ohashi\, Dorian Browne \nMOZART – CONCERTO 21 Kathleen Thielhelm\, Antoine Le Moal \nSEASIDE RENDEZ-VOUS Manoela Gonçalves\nHideo Kishimoto\, Alessandro Cavallo\, Oana Cojocaru\, Bianca Stoicheciu\, Min Kyung Lee \nYOU TAKE MY BREATH AWAY Mari Ohashi\, Dorian Browne\, Daniel Aguado Ramsay\, Denovane Victoire\, Carme Andres\, Manoela Gonçalves \nMOZART – MUSIQUE MACONNIQUE Dorian Browne \nRADIO GAGA Leroy Mokgatle \nA WINTER’S TALE Masayoshi Onuki\nMattia Galiotto\, Carme Andres \nMILLIONNAIRE WALTZ Wictor Hugo Pedroso\, Cyprien Bouvier\, Denovane Victoire\, Alessandro Cavallo\, Daniel Aguado Ramsay \nLOVE OF MY LIFE Mari Ohashi\, Dorian Browne\, Chiara Posca\, Masayoshi Onuki \nBRIGHTON ROCK Cyprien Bouvier\, Denovane Victoire\, Jule Deutschmann\, Oana Cojocaru \nBOHEMIAN RHAPSODY Toute la compagnie \nI WANT TO BREAK FREE (VIDEO) Jorge Donn (vidéo) et toute la compagnie \nTHE SHOW MUST GO ON Toute la compagnie \n  \nDistribution sujette à modifications\n  \n\nFiche artistique\nMUSIQUE\nJohn Deacon\nAlbum : Made in Heaven ;\nTitre : Winter’s Tale ;\nInterprètes : Queen ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : 4835542\n*\nAlbum : The Works ;\nTitre : I Want To Break Free\, live at Wembley 86.\nInterprètes : Queen ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : 7995942 \n  \nBrian May\nAlbum : Live Killer ;\nTitre : Brighton Rock ;\nInterprètes : Queen ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : 7895002\n*\nAlbum : Sheer Heart Attack ;\nTitre : Brighton Rock\, solo live at Wembley 86 ;\nInterprètes : Queen ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : 7995942\n*\nAlbum : A Night At the Opera ;\nTitre : The Prophet’s Song ;\nInterprètes : Queen ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : 7894922 \n  \nFreddie Mercury\nAlbum : A Night at the Opera ;\nTitre : Love of my life\, live at Wembley 86 ;\nInterprètes : Queen ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : 7995942\n*\nAlbum : A Night at the Opera ;\nTitre : Bohemian Rhapsody\, live at Wembley 86 ;\nInterprètes : Queen ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : 7995942\n*\nAlbum : A Night At The Opera ;\nTitre : Seaside Rendezvous ;\nInterprète : Queen ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : 7894922\n*\nAlbum : A Day at the Races ;\nTitre : Millionaire Waltz ;\nInterprètes : Queen ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : UOCD 668\n*\nAlbum : A Day at the Races ;\nTitre : You Take My Breath Away ;\nInterprètes : Queen ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : UOCD 668\n*\nAlbum : Made in Heaven ;\nTitre : I Was Born To Love You ;\nInterprètes : Queen ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : 4835542\n*\nAlbum : Live Killers ;\nTitre : Get down make love ;\nInterprètes : Queen ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : 7895002 \n  \nRoger Taylor\nAlbum : The Works ;\nTitre : Radio Gaga ;\nInterprètes : Queen ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : CDP 7460162\n*\nAlbum : Made in Heaven ;\nTitre : Heaven for Everyone ;\nInterprètes : Queen ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : 4835542\n*\nAlbum : A Kind Of Magic ;\nTitre : A Kind Of Magic ;\nInterprètes : Queen ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : 7462672 \n  \nQueen\nAlbum : Innuendo ;\nTitre : The Show Must Go On ;\nInterprètes : Queen ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : CDP 7958872\n*\nAlbum : Made in Heaven ;\nTitre : It’s A Beautiful Day ;\nInterprètes : Queen ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : 4835542\n*\nAlbum : Made in Heaven ;\nTitre : Let Me Live ;\nInterprètes : Queen ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : 4835542 \n  \nBuck Ram\nAlbum : The Freddie Mercury Album ;\nTitre : The Great Pretender ;\nInterprète : Freddie Mercury ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : 077778099925 \n  \nDave Clark\, John Christie\nAlbum : The Freddie Mercury Album ;\nTitre : Time ;\nInterprète : Freddie Mercury ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : 077778099925 \n  \nWolfgang Amadeus Mozart\nAlbum : Symphonien Nr. 39\, 40\, 41 ;\nTitre : K. 477 Maurerische Trauermusik ;\nDirecteur : Eugene Jochum ;\nInterprètes : Bamberger Symphoniker ;\nDistribution : ORFEO ;\nRéf. : C 045902 A\n*\nAlbum : Thamos\, König in Ägypten ;\nTitre : Nr. Andante Moderato ;\nDirecteur : Nikolaus Harnoncourt ;\nInterprètes : Concertgebouw Orchestra Amsterdam ;\nDistribution : TELEDEL ;\nRéf. : 2428952\n*\nAlbum : Piano Concerto N.21 ;\nTitres : Klavier Konzert N21 C-DUR « Elvira Madigan » KV 427\, Il Andante ;\nDirecteur : Wolfgang Sawallisch ;\nInterprètes : Philharmonia Orchestra London\, Annie Fischer ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : CDE 76777782\n*\nAlbum : Sinfonia Concertante K. 364 in E-Flat Major ;\nTitre : Andante ;\nDirecteur : Nikolaus Harnoncourt ;\nInterprètes : Wiener Philharmoniker\, Gidon Kremer (violon)\, Kim Kashkashian (viola/alto) ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : 429 606-2-\n*\nAlbum : Così fan tutte ;\nTitres : Recitativo: Non V’è Piu Tempo\, Muoio D’affanno!… Quintetto: Di Scrivermi Ogni Giorno… ;\nDirecteur : Karl Böhm ;\nInterprètes : Elisabeth Schwarzkopf\, Christa Ludwig\, Alfredo Kraus\, Giuseppe Taddei\, Walter Berry ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : CMS 7693302 \n  \nRÔLES À LA CRÉATION\nGil Roman\, Gregor Metzger\, Christine Blanc\, Koen Onzia\,\nJuichi Kobayashi \n  \nRÔLES À LA REPRISE\nOscar Chacón\, Julien Favreau\, Keisuke Nasuno\, Elisabet Ros\, Kateryna Shalkina\, Masayoshi Onuki URL:https://www.roseyconcerthall.ch/event/bejart-ballet-lausanne-le-presbytere-na-rien-perdu-de-son-charme-ni-le-jardin-de-son-eclat/ LOCATION:Rosey Concert Hall\, Le Rosey\, Rolle\, 1180\, Suisse CATEGORIES:Danse ATTACH;FMTTYPE=image/jpeg:https://www.roseyconcerthall.ch/wp-content/uploads/2021/06/bandeau_event_bejart.jpg GEO:46.4598076;6.3275569 X-APPLE-STRUCTURED-LOCATION;VALUE=URI;X-ADDRESS=Rosey Concert Hall Le Rosey Rolle 1180 Suisse;X-APPLE-RADIUS=500;X-TITLE=Le Rosey:geo:6.3275569,46.4598076 END:VEVENT BEGIN:VEVENT DTSTART;TZID=Europe/Helsinki:20220509T201500 DTEND;TZID=Europe/Helsinki:20220509T223000 DTSTAMP:20250502T174048 CREATED:20220225T152206Z LAST-MODIFIED:20220509T122905Z UID:10000228-1652127300-1652135400@www.roseyconcerthall.ch SUMMARY:BÉJART BALLET LAUSANNE – COMPLET DESCRIPTION:BÉJART BALLET LAUSANNE\n– Complet –\nLe Presbytère n’a rien perdu de son charme\, ni le jardin de son éclat\nChorégraphie Maurice Béjart \nMusique Queen\, Wolfgang Amadeus Mozart \nCréation costumes Gianni Versace \nCréation lumière Clément Cayrol \nRéalisation lumière Dominique Roman \nMontage vidéo Germaine Cohen \nPremière Salle Métropole\, Lausanne – 15 décembre 1996\nReprise Teatro Comunale\, Vicence – 8 mars 2008 \n\nLe spectacle du Béjart Ballet Lausanne\, véritable référence dans le monde chorégraphique\, est époustouflant : une chorégraphie de Maurice Béjart sur la musique de Queen et de Mozart en hommage au danseur Jorge Donn et à Freddy Mercury\, morts tous les deux du Sida à 45 ans. \nUn hymne à l’amour\, à la passion\, un combat pour la vie et un pied de nez au coronavirus.  \nMarie-Noëlle Tirogalas  \n\nIl y a un peu plus de trente ans\, au milieu de la surprenante musique de Berlioz entrecoupée de bombardements et de bruits de mitrailleuses\, un Frère Laurent peu conventionnel s’écriait devant Jorge Donn et Hitomi Asakawa : « Faites l’amour\, pas la guerre ! ». \nAujourd’hui\, Gil Roman\, qui a à peu près l’âge de la création de mon Roméo et Juliette\, entouré de danseurs qui n’ont jamais vu ce ballet répond : « Vous nous avez dit : faites l’amour\, pas la guerre. Nous avons fait l’amour\, pourquoi l’amour nous fait-il la guerre ? ». \nCri d’angoisse d’une jeunesse pour laquelle le problème de la mort par l’amour s’ajoute à celui des guerres multiples qui n’ont pas cessé dans le monde depuis la soi-disant FIN de la dernière guerre mondiale ! \nMes ballets sont avant tout des rencontres : avec une musique\, avec la vie\, avec la mort\, avec l’amour… avec des êtres dont le passé et l’œuvre se réincarnent en moi\, de même que le danseur que je ne suis plus\, se réincarne à chaque fois en des interprètes qui le dépassent. \nCoup de foudre pour la musique de Queen. Invention\, violence\, humour\, amour\, tout est là. Je les aime\, ils m’inspirent\, ils me guident et\, de temps en temps dans ce no man’s land où nous irons tous un jour\, Freddie Mercury\, j’en suis sûr\, se met au piano avec Mozart. \nUn ballet sur la jeunesse et l’espoir puisque\, indécrottable\, optimiste\, je crois aussi malgré tout que the show must go on\, comme le chante Queen. \nMaurice Béjart \n\n©François Paolini\n  \n  \n\nDistribution\nIT’S A BEAUTIFUL DAY \nTIME/LET ME LIVE Toute la compagnie \nFREDDIE Fabrice Gallarrague \nBRIGHTON ROCK Solène Burel\, Carme Andres\, Antoine Le Moal\, Mari Ohashi\, Dorian Browne\, Chiara Posca\, Vito Pansini \nHEAVEN FOR EVERYONE Mattia Galiotto\, Dorian Browne\nL’ANGE  Jiayong Sun \nI WAS BORN TO LOVE YOU Elisabet Ros\nLA MARIÉE  Floriane Bigeon\nL’ANGE  Antoine Le Moal \nMOZART – COSI FAN TUTTE Mari Ohashi\, Dorian Browne\, Chiara Posca\, Vito Pansini \nA KIND OF MAGIC Andrea Luzi\, Denovane Victoire\, Mattia Galiotto\, Clara Boitet\, Federico Matetich\, Cyprien Bouvier\, Fabrice Gallarrague (Freddie)\, Javier Casado Suárez\, Angelo Perfido\, Antoine Le Moal\, Kwinten Guilliams\, Masayoshi Onuki\, Leroy Mokgatle\, Alessandro Cavallo \nMOZART / THAMOS OUVERTURE Dorian Browne \nGET DOWN MAKE LOVE Mari Ohashi\, Dorian Browne \nMOZART – CONCERTO 21 Carme Andres\, Javier Casado Suárez \nSEASIDE RENDEZ-VOUS Solène Burel\nHideo Kishimoto\, Denovane Victoire\, Oana Cojocaru\, Floriane Bigeon\, Clara Boitet \nYOU TAKE MY BREATH AWAY Mari Ohashi\, Leroy Mokgatle\, Alessandro Cavallo\, Valerija Frank\, Solène Burel \nMOZART – MUSIQUE MACONNIQUE Dorian Browne \nRADIO GAGA Jiayong Sun \nA WINTER’S TALE Vito Pansini\nMattia Galiotto\, Chiara Posca \nMILLIONNAIRE WALTZ Kwinten Guilliams\, Leroy Mokgatle\, Denovane Victoire\, Hideo Kishimoto\, Angelo Perfido \nLOVE OF MY LIFE Mari Ohashi\, Dorian Browne\, Chiara Posca\, Vito Pansini \nBRIGHTON ROCK Alessandro Cavallo\, Denovane Victoire\, Floriane Bigeon\, Oana Cojocaru \nBOHEMIAN RHAPSODY Toute la compagnie \nI WANT TO BREAK FREE (VIDEO) Jorge Donn (vidéo) et toute la compagnie \nTHE SHOW MUST GO ON Toute la compagnie \n  \nDistribution sujette à modifications\n\nFiche artistique\nMUSIQUE\nJohn Deacon\nAlbum : Made in Heaven ;\nTitre : Winter’s Tale ;\nInterprètes : Queen ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : 4835542\n*\nAlbum : The Works ;\nTitre : I Want To Break Free\, live at Wembley 86.\nInterprètes : Queen ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : 7995942 \n  \nBrian May\nAlbum : Live Killer ;\nTitre : Brighton Rock ;\nInterprètes : Queen ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : 7895002\n*\nAlbum : Sheer Heart Attack ;\nTitre : Brighton Rock\, solo live at Wembley 86 ;\nInterprètes : Queen ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : 7995942\n*\nAlbum : A Night At the Opera ;\nTitre : The Prophet’s Song ;\nInterprètes : Queen ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : 7894922 \n  \nFreddie Mercury\nAlbum : A Night at the Opera ;\nTitre : Love of my life\, live at Wembley 86 ;\nInterprètes : Queen ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : 7995942\n*\nAlbum : A Night at the Opera ;\nTitre : Bohemian Rhapsody\, live at Wembley 86 ;\nInterprètes : Queen ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : 7995942\n*\nAlbum : A Night At The Opera ;\nTitre : Seaside Rendezvous ;\nInterprète : Queen ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : 7894922\n*\nAlbum : A Day at the Races ;\nTitre : Millionaire Waltz ;\nInterprètes : Queen ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : UOCD 668\n*\nAlbum : A Day at the Races ;\nTitre : You Take My Breath Away ;\nInterprètes : Queen ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : UOCD 668\n*\nAlbum : Made in Heaven ;\nTitre : I Was Born To Love You ;\nInterprètes : Queen ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : 4835542\n*\nAlbum : Live Killers ;\nTitre : Get down make love ;\nInterprètes : Queen ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : 7895002 \n  \nRoger Taylor\nAlbum : The Works ;\nTitre : Radio Gaga ;\nInterprètes : Queen ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : CDP 7460162\n*\nAlbum : Made in Heaven ;\nTitre : Heaven for Everyone ;\nInterprètes : Queen ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : 4835542\n*\nAlbum : A Kind Of Magic ;\nTitre : A Kind Of Magic ;\nInterprètes : Queen ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : 7462672 \n  \nQueen\nAlbum : Innuendo ;\nTitre : The Show Must Go On ;\nInterprètes : Queen ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : CDP 7958872\n*\nAlbum : Made in Heaven ;\nTitre : It’s A Beautiful Day ;\nInterprètes : Queen ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : 4835542\n*\nAlbum : Made in Heaven ;\nTitre : Let Me Live ;\nInterprètes : Queen ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : 4835542 \n  \nBuck Ram\nAlbum : The Freddie Mercury Album ;\nTitre : The Great Pretender ;\nInterprète : Freddie Mercury ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : 077778099925 \n  \nDave Clark\, John Christie\nAlbum : The Freddie Mercury Album ;\nTitre : Time ;\nInterprète : Freddie Mercury ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : 077778099925 \n  \nWolfgang Amadeus Mozart\nAlbum : Symphonien Nr. 39\, 40\, 41 ;\nTitre : K. 477 Maurerische Trauermusik ;\nDirecteur : Eugene Jochum ;\nInterprètes : Bamberger Symphoniker ;\nDistribution : ORFEO ;\nRéf. : C 045902 A\n*\nAlbum : Thamos\, König in Ägypten ;\nTitre : Nr. Andante Moderato ;\nDirecteur : Nikolaus Harnoncourt ;\nInterprètes : Concertgebouw Orchestra Amsterdam ;\nDistribution : TELEDEL ;\nRéf. : 2428952\n*\nAlbum : Piano Concerto N.21 ;\nTitres : Klavier Konzert N21 C-DUR « Elvira Madigan » KV 427\, Il Andante ;\nDirecteur : Wolfgang Sawallisch ;\nInterprètes : Philharmonia Orchestra London\, Annie Fischer ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : CDE 76777782\n*\nAlbum : Sinfonia Concertante K. 364 in E-Flat Major ;\nTitre : Andante ;\nDirecteur : Nikolaus Harnoncourt ;\nInterprètes : Wiener Philharmoniker\, Gidon Kremer (violon)\, Kim Kashkashian (viola/alto) ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : 429 606-2-\n*\nAlbum : Così fan tutte ;\nTitres : Recitativo: Non V’è Piu Tempo\, Muoio D’affanno!… Quintetto: Di Scrivermi Ogni Giorno… ;\nDirecteur : Karl Böhm ;\nInterprètes : Elisabeth Schwarzkopf\, Christa Ludwig\, Alfredo Kraus\, Giuseppe Taddei\, Walter Berry ;\nDistribution : EMI ;\nRéf. : CMS 7693302 \n  \nRÔLES À LA CRÉATION\nGil Roman\, Gregor Metzger\, Christine Blanc\, Koen Onzia\,\nJuichi Kobayashi \n  \nRÔLES À LA REPRISE\nOscar Chacón\, Julien Favreau\, Keisuke Nasuno\, Elisabet Ros\, Kateryna Shalkina\, Masayoshi Onuki URL:https://www.roseyconcerthall.ch/event/bejart-ballet-lausanne-date-supplementaire/ LOCATION:Rosey Concert Hall\, Le Rosey\, Rolle\, 1180\, Suisse CATEGORIES:Danse ATTACH;FMTTYPE=image/jpeg:https://www.roseyconcerthall.ch/wp-content/uploads/2021/06/bandeau_event_bejart.jpg GEO:46.4598076;6.3275569 X-APPLE-STRUCTURED-LOCATION;VALUE=URI;X-ADDRESS=Rosey Concert Hall Le Rosey Rolle 1180 Suisse;X-APPLE-RADIUS=500;X-TITLE=Le Rosey:geo:6.3275569,46.4598076 END:VEVENT BEGIN:VEVENT DTSTART;TZID=Europe/Helsinki:20220427T201500 DTEND;TZID=Europe/Helsinki:20220427T220000 DTSTAMP:20250502T174048 CREATED:20210607T145942Z LAST-MODIFIED:20220421T084236Z UID:10000225-1651090500-1651096800@www.roseyconcerthall.ch SUMMARY:CINÉ-CONCERT : CITY LIGHTS CHARLIE CHAPLIN DESCRIPTION:Ciné-Concert\nCITY LIGHTS\nCharlie Chaplin\nDirection : Philippe Béran\navec\nL’Orchestre de Chambre de Genève\n  \nSpectacle en soutien à \nwww.unitedforu.org \nUnited for U\, une ONG humanitaire suisse qui répond aux besoins urgents des réfugiés\, avec un accent particulier sur les femmes et les enfants.\nPour toutes questions\, veuillez contacter info@unitedforu.org \n\nLes Lumières de la Ville\, le chef d’œuvre de Charlie Chaplin\, artiste aux multiples talents\, qui fait rire et pleurer chaque génération. \nUn rendez-vous du cinéma et du concert\, sous la baguette magique de notre brillant ami Philippe Béran à la tête L’OCG.  \nMarie-Noëlle Tirogalas  \n\nCharlie Chaplin™ © Bubbles Incorporated S.A. City Lights © Roy Export S.A.S\n\nUNITED FOR U Les projets clés du mois d’avril : \nCliquez sur l’image pour ouvrir le document dans un nouvel onglet\n  \n\nL'OCG37 musiciens passionnés et virtuoses\, qui s’engagent pour offrir au public le plus large possible une programmation riche en émotion\, en plaisir et en découverte : telle est l’identité de L’Orchestre de Chambre de Genève. \nLe rayonnement de l’orchestre\, son énergie irrépressible et son audace sont soulignés par sa présence dans de nombreux festivals et évènements artistiques\, du bassin lémanique à l’international\, en témoignent ses récentes tournées en Chine et au Moyen-Orient. Les prestations de l’orchestre\, saluées par la critique et par la presse\, sont diffusées au niveau régional et suisse par Léman Bleu et la RTS\, à l’international par Arte et TV5 Monde. \nDepuis 2013\, le directeur artistique et musical de l’orchestre est le chef néerlandais Arie van Beek. L’orchestre se produit chaque année avec des artistes tels que Mischa Maisky\, Patricia Kopatchinskaja\, Gautier Capuçon\, Sonya Yoncheva\, Maxim Vengerov\, Natalie Dessay ou Daniel Müller-Schott et des chefs invités tels que Gábor Takács-Nagy\, Pierre Bleuse\, Jean-Jacques Kantorow\, Thierry Fischer ou Gergely Madaras. \nFondé en 1992\, l’orchestre donne aujourd’hui près de 50 concerts annuels. Son répertoire\, centré autour de son effectif « Mannheim » idéalement adapté aux compositeurs de la période classique (Haydn\, Mozart\, Beethoven)\, s’étend du baroque au XXIesiècle\, grâce à la curiosité insatiable de l’orchestre tout comme à son aisance à travers les époques et les styles. \nPorté par des valeurs humaines fortes\, l’orchestre s’engage pour la nouvelle génération au travers de projets pédagogiques et de concerts participatifs. Convaincu que la musique doit être accessible au plus grand nombre\, il tisse des partenariats féconds avec les acteurs sociaux de la région : Association pour le Bien des Aveugles et malvoyants\, Fondation Village Aigues-Vertes pour personnes vivant avec une déficience intellectuelle\, banque alimentaire Partage\, etc. \nDéfendant une vision collaborative de la culture\, L’Orchestre de Chambre de Genève interagit avec un riche écosystème d’acteurs et d’institutions\, du jazz au répertoire lyrique : Grand Théâtre de Genève\, Opéra de Lausanne\, AMR\, Haute école de musique de Genève\, Contrechamps\, Conservatoire populaire de musique\, danse et théâtre\, Concours de Genève\, Eklekto\, ainsi que de nombreuses chorales et ensembles vocaux. \nL’Orchestre de Chambre de Genève est soutenu par la Ville de Genève et de nombreux sponsors\, institutions et donateurs privés\, partenaires de sa passion\, de son exigence\, de son engagement et de son audace. \nPHILIPPE BÉRAN\nAprès une formation classique\, Philippe Béran mène une carrière qui l’éloigne des sentiers battus. Né à Genève en 1962\, il suit\, en parallèle\, des études scientifiques et musicales. Premier prix de clarinette au Conservatoire de Genève puis au Conservatoire National de Musique de Paris\, il obtient un 1er prix de direction d’orchestre au Conservatoire de Genève. Il décroche également un diplôme de physique théorique à l’Université de Genève et enseigne dix ans les mathématiques\, la physique et la musique aux collégiens. Lorsqu’il peut se consacrer exclusivement à la musique et à la direction d’orchestre\, ce mari et père de quatre enfants fait de sa relation privilégiée avec le jeune public l’une de ses cartes maîtresses. \nDésireux de transmettre sa passion et son amour profond de la musique à la nouvelle génération\, Philippe Béran mise sur l’enthousiasme : le sien\, qu’il communique aussitôt au public. Il rompt avec « les schémas de concerts vieux de 250 ans » et le côté guindé de certaines représentations où n’assistent que des mélomanes avertis. Pour amener à la musique ceux qui la connaissent peu\, ou mal\, il développe une forme originale et vivante de concert où le public n’est pas tenu à distance mais invité à participer. Plus courtes\, ponctuées de commentaires\, ces représentations font découvrir le grand répertoire symphonique avec simplicité et humour\, dans un esprit de partage et de complicité avec la salle. \nLe succès est au rendez-vous : chaque année\, 12000 enfants viennent écouter les concerts commentés que Philippe Béran dirige à la tête de l’Orchestre de la Suisse Romande\, des spectacles qui se jouent à guichet fermé. Présentée au Grand Théâtre de Genève au printemps 2011\, la version courte de la Flûte enchantée de Mozart a dû être reprogrammée à l’automne. En décembre 2011\, la projection des « Temps modernes » de Charlie Chaplin a fait 10 salles combles au Victoria Hall. Un véritable challenge\, pour le chef et l’OSR\, car la musique et les images doivent être parfaitement synchrones : « 99% de réussite\, cela ne suffit pas ! » aime à dire le Genevois\, grand spécialiste de la direction de ciné-concerts\, en particulier des films de Chaplin. \nResponsable de l’action pédagogique de l’Orchestre de la Suisse romande et de l’Orchestre de Chambre de Lausanne de 2002 à 2011\, Philippe Béran est également le directeur de l’Orchestre du Collège de Genève. Cette jeune formation de très bon niveau rassemble une centaine de collégiens\, âgés de 14 à 19 ans\, et couvre tous les répertoires : symphonique et choral\, ballets\, opéras\, musiques de films. Chaque année\, l’Orchestre du Collège assure une quinzaine de concerts et part régulièrement en tournée – dernièrement en Toscane et… en Chine! \nLa musique et le plaisir\, toujours\, pour ce chef d’orchestre qui a la joie de vivre et l’énergie chevillées au corps. C’est dans cet esprit qu’il enseigne la direction d’orchestre à la Haute Ecole de Musique de Lausanne depuis 2009. \nSur un terrain plus classique\, Philippe Béran s’est fait remarquer comme chef d’opéra (invité régulier du Grand Théâtre de Genève depuis 2002 et de l’Opéra de Lausanne) mais surtout comme chef de ballet\, un genre qu’il affectionne particulièrement. Il parcourt le monde auprès de nombreuses et célèbres compagnies des plus prestigieux opéras. En décembre 2007\, il a donné neuf représentations de « Casse-Noisette » au Lincoln Center avec le New York City Ballet. En mai 2008\, il a inauguré le nouvel opéra de Pékin avec le Ballet national de l’Opéra de Paris et l’Orchestre symphonique du Ballet central de Chine (Paquita). Il est aussi régulièrement invité depuis 2009 par l’Opéra Royal de Suède à Stockholm et fais ses débuts cette saison à l’Opéra National de Finlande. URL:https://www.roseyconcerthall.ch/event/cine-concert-city-lights-charlie-chaplin/ LOCATION:Rosey Concert Hall\, Le Rosey\, Rolle\, 1180\, Suisse CATEGORIES:Ciné-concert ATTACH;FMTTYPE=image/jpeg:https://www.roseyconcerthall.ch/wp-content/uploads/2021/06/bandeau_event_city_lights.jpg GEO:46.4598076;6.3275569 X-APPLE-STRUCTURED-LOCATION;VALUE=URI;X-ADDRESS=Rosey Concert Hall Le Rosey Rolle 1180 Suisse;X-APPLE-RADIUS=500;X-TITLE=Le Rosey:geo:6.3275569,46.4598076 END:VEVENT BEGIN:VEVENT DTSTART;TZID=Europe/Helsinki:20220406T201500 DTEND;TZID=Europe/Helsinki:20220406T220000 DTSTAMP:20250502T174048 CREATED:20210607T144613Z LAST-MODIFIED:20220406T142325Z UID:10000222-1649276100-1649282400@www.roseyconcerthall.ch SUMMARY:AN EVENING WITH AVISHAI COHEN «TWO ROSES» ET LES SOLISTES DE LA MENUHIN ACADEMY DESCRIPTION:AN EVENING WITH\nAVISHAI COHEN\n« TWO ROSES »\net les Solistes de la Menuhin Academy\n\n \n\nIsraélien d’origine\, Avishai Cohen et sa contrebasse sont des icônes du jazz moderne. \nEn trio ou accompagné d’un orchestre symphonique\, cet artiste dégage une aura et un charisme sur scène exceptionnel. \nIl chante parfois dans des langues inconnues dont les sonorités résonnent en chacun d’entre nous sans besoin d’en comprendre le sens. \nNous le retrouvons avec bonheur\, accompagné des Solistes de la Menuhin Academy\, le temps d’une soirée inoubliable. \nMarie-Noëlle Tirogalas  \n\nProgramme\nRomanian Folk Dances\, Sz. 68\nBéla Bartók \nHayo Hayta\nComposed by Avishai Cohen \nPuncha Puncha\nTraditional – Arranged by Avishai Cohen \nDreaming of a dream – on a theme by Avishai Cohen\nComposed by Tscho Theissing \nDreaming\nComposed by Avishai Cohen \nArab Medley\nTraditional/Folk – Arranged by Avishai Cohen \nAlmah Sleeping\nComposed by Avishai Cohen \nSelection from upcoming album Shifting Sands \nAlon Basela\nLyrics and music composed by Avishai Cohen \nShalom Aleichem\nComposed by Avishai Cohen\nPoem lyrics from Kabalat Shabbat Prayer \n©Andreas Terlaak\nBasse\, chant : Avishai Cohen\nPiano : Elchin Shirinov\nPercussion : Roni Kaspi \n\nAVISHAI COHENAu cours des deux dernières décennies\, le bassiste\, chanteur\, compositeur\, visionnaire et innovateur du jazz\, Avishai Cohen\, a acquis la réputation d’être l’un des plus grands bassistes de son temps. Ses compositions originales et ses arrangements reflètent un univers musical étendu et un mélange vital de traditions\, de cultures\, de langues et de styles\, allant des chansons folkloriques hébraïques et ladino au jazz contemporain original et vibrant. Après l’immense succès de la sortie de «Almah» (Warner/Parlophone\, 2013)\, un projet unique qui combinait un trio et un quatuor à cordes\, Avishai a fait\, ces dernières années\, de nouveaux pas vers l’avenir\, avec un trio et un orchestre complet. Il s’agit de l’aboutissement de son voyage musical\, réunissant deux mondes – le classique et le jazz. «An Evening with Avishai Cohen» met en scène son trio dynamique composé d’une contrebasse\, d’une batterie et d’un piano\, tandis que l’intégration sophistiquée et légitime d’un orchestre de chambre donne une dimension supplémentaire au son caractéristique de Cohen. Le programme comprend des compositions de jazz contemporain et de musique du monde de Cohen\, des chansons traditionnelles hébraïques et ladino orchestrées)\, ainsi que des oeuvres classiques\, tandis que les arrangements sont conçus pour soliste\, trio ou orchestre complet. Le résultat est une expérience musicale exaltante\, intime mais à fort impact. \n« Two Roses » d’Avishai Cohen \nEn avril 2021\, Avishai Cohen sort son premier album orchestral avec le label français Believe/Naïve. L’album a été enregistré lors d’une résidence de Cohen et d’un concert à guichets fermés avec l’Orchestre symphonique de Göteborg et l’Orchestre national suédois\, sous la direction du Suédois Alexander Hanson. \nLa sortie de l’album «Two Roses» est la continuation du projet unique de Cohen «An Evening with Avishai Cohen»\, présenté pour la première fois en direct fin 2015. On retrouve au coeur de l’album Cohen à la basse et au chant aux côtés de ses partenaires musicaux Elchin Shirinov\, Azerbaïdjan\, au piano\, et Mark Guiliana\, États-Unis\, à la batterie. La liste des morceaux comprend des compositions de jazz contemporain et de musique du monde de Cohen\, des chansons à succès comme «Seven Seas» et «Song For My Brother»\, ainsi que des chansons traditionnelles hébraïques et ladino orchestrées comme «Puncha Puncha» et d’autres compositions et arrangements classiques originaux. De nombreux musiciens rêvent d’enregistrer un disque avec un orchestre symphonique\, mais peu ont les moyens de le réaliser. Grâce à une capacité extraordinaire à composer des mélodies qui prennent racine dans l’esprit de ses auditeurs et parce qu’il a patiemment interprété ces compositions sur scène au point qu’elles font pratiquement partie de lui\, Avishai Cohen était bien placé pour réaliser une telle ambition. «Two Roses» est le résultat d’un long processus qui a débuté en 2013 lorsque Cohen a enregistré son album «Almah»\, avec son trio et un petit ensemble de chambre composé de quatre instruments à cordes et d’un hautbois. \nLa musique de Cohen est une tapisserie complexe d’influences mondiales et historiques. Maître de la musique afro-caribéenne\, Cohen en a absorbé la complexité. Également touché par les mélodies du folklore israélien\, et la complexité de leurs héritages sépharades\, ashkénazes ou yéménites\, il a réintroduit la «Morenika» traditionnelle ladino\, ainsi que des airs populaires de son pays natal\, comme «Two Roses»\, qui prête son titre à cet album. Le titre lui-même est une métaphore de l’habile fusion du jazz et du monde symphonique dans cet album. Fan des standards du jazz\, qu’il aime s’approprier par des arrangements très personnels – dans cet enregistrement\, avec une version de «Nature Boy» – Cohen n’en reste pas moins un compositeur de thèmes à part entière. Nombre de ses propres «classiques» sont inspirés par l’Afrique du Nord\, le Moyen-Orient\, les pays slaves et la Russie. «Enregistrer avec un orchestre est une aventure en soi. Ce n’est pas comme faire un disque de jazz». Un orchestre a son propre rythme\, il faut comprendre comment il respire\, dit Cohen. Et il a enfin trouvé un ensemble capable de lui offrir cette expérience: les 92 femmes et hommes talentueux de l’Orchestre symphonique de Göteborg\, dirigé par Alexander Hanson. Cohen ne s’est pas lancé seul dans cette aventure: son trio comprend deux musiciens pour lesquels il ne tarit pas d’éloges. Le pianiste Elchin Shirinov\, et le batteur Mark Guiliana\, avec lequel Cohen a révolutionné l’approche du trio. « Je me suis essentiellement consacré aux mêmes chansons toute ma vie\, admet Cohen\, ce qui ne m’a pas empêché d’en écrire et d’en apprendre de nouvelles…» Il explique que son arrangement en mi majeur de «A Child Is Born»\, de Thad Jones\, maintenant transposé à la gamme symphonique\, remonte à l’époque de son propre International Vamp Band\, dans lequel il jouait principalement du piano. «Two Roses» comprend toutefois des originaux comme «When I’m Falling»\, qui témoigne de la dimension autobiographique qu’a prise son travail. « Entendre des chansons comme «Morenika» ou «Puncha Puncha»\, c’est comme changer d’époque\, se retrouver à un moment où rien n’est plus pareil»\, note Cohen. Le déroulement de «Two Roses»\, à plusieurs égards\, ressemble à la bande-son d’un film épique\, parfois teintée de nostalgie\, portée ailleurs par une énergie trépidante et vibrante. Sur «Two Roses»\, seules comptent la performance\, l’émotion et l’expression personnelle d’un citoyen du monde qui considère la musique comme sa seule vraie patrie. L'IMMA\, International Menuhin Music AcademyQuand Lord Menuhin créa en 1977 avec son disciple et ami Alberto Lysy l’International Menuhin Music Academy\, à Gstaad\, il inventait une forme toute nouvelle d’académie musicale\, sans frais de scolarité\, où les futurs solistes\, recrutés pour 3 ou 4 ans dans le monde entier après leurs études secondaires\, seraient réunis par une même passion de la musique et une même volonté de progresser\, apprendraient à jouer ensemble et à se produire en public et partageraient un même idéal humaniste de tolérance et d’ouverture au monde et aux autres. Un noyau de trois professeurs anciens élèves de Menuhin et de Lysy se chargèrent après 2009 de transmettre cette flamme et cet héritage artistique et culturel: Oleg Kaskiv reprit la direction musicale et l’enseignement du violon\, Pablo de Naverán\, celui du violoncelle\, Ivan Vukčević\, celui de l’alto. Ils ont formé quotidiennement avec la même ferveur les seize solistes qui composent l’ensemble des Menuhin Academy Soloists et qui bénéficient de l’accompagnement au piano d’Olga Sitkovetsky (de la Menuhin School dans le Surrey). Les meilleurs se présentent à des concours réputés. \nDe 2012 à 2019\, Maxim Vengerov a été le directeur artistique de l’Académie. \nEn 2015\, les solistes de l’Académie sont devenus l’orchestre résident de l’Institut Le Rosey à Rolle. \nIls y offrent des concerts publics\, participent à plusieurs festivals en Suisse et en Europe et préparent des tournées internationales. Au total une trentaine de concerts annuels. \nEn juillet 2019\, Renaud Capuçon a rejoint l’Académie pour en prendre la direction artistique et lui insuffler un élan nouveau. Il s’est adjoint un deuxième enseignant pour le violon\, Guillaume Chilemme. De prestigieuses invitations sont depuis régulièrement lancées pour organiser des master classes au Rosey Concert Hall pour chaque instrument et pour la musique de chambre. Le corps professoral s’est récemment étoffé grâce à la venue de deux autres maîtres\, Gérard Caussé pour l’alto et Clemens Hagen pour le violoncelle. \nwww.menuhin.com URL:https://www.roseyconcerthall.ch/event/an-evening-with-avishai-cohen-et-les-solistes-de-la-menuhin-academy/ LOCATION:Rosey Concert Hall\, Le Rosey\, Rolle\, 1180\, Suisse CATEGORIES:Concert ATTACH;FMTTYPE=image/jpeg:https://www.roseyconcerthall.ch/wp-content/uploads/2021/06/bandeau_event_avishai_cohen.jpg GEO:46.4598076;6.3275569 X-APPLE-STRUCTURED-LOCATION;VALUE=URI;X-ADDRESS=Rosey Concert Hall Le Rosey Rolle 1180 Suisse;X-APPLE-RADIUS=500;X-TITLE=Le Rosey:geo:6.3275569,46.4598076 END:VEVENT BEGIN:VEVENT DTSTART;TZID=Europe/Helsinki:20220310T201500 DTEND;TZID=Europe/Helsinki:20220310T220000 DTSTAMP:20250502T174048 CREATED:20200629T135017Z LAST-MODIFIED:20220304T083227Z UID:10000219-1646943300-1646949600@www.roseyconcerthall.ch SUMMARY:SERGEY BELYAVSKY DESCRIPTION:SERGEY BELYAVSKY\nLauréat du Prix Paderewski 2019\nRécital de piano \n\nSergey Belyavsky est le lauréat du Prix Paderewski 2019 que la pandémie a privé trop longtemps de concerts ! \nC’est avec joie que nous l’accueillons pour ce premier concert d’une longue carrière\, en lui souhaitant de marcher sur les traces de son prédécesseur (que nous avions reçu en 2019)\, San Jittakarn. \nMarie-Noëlle Tirogalas  \n\nPROGRAMME\nRobert Schumann (1810-1856)\nFaschingsscwank aus Wien (Carnaval de Vienne) op. 26\nAllegro\nRomanze\nScherzino\nIntermezzo\nFinale \nCarnaval op. 9\nPréambule\nPierrot\nArlequin\nValse noble\nEusebius\nFlorestan\nCoquette\nReplique\nPapillons\nA.S.C.H. S.C.H.A.\nChiarina\nChopin\nEstrella\nReconnaissance\nPantalon et Colombine\nValse allemande\nAveu\nPromenade\nPause\nMarche des Davidsbündler contre les Philistins \n–\nEntracte\n– \nJohann Sebastian Bach (1685-1750)\nToccata en sol mineur BWV 915 \nNikolai Medtner (1880-1951)\nDve Skazki (Deux contes de fées) op. 20 nº 1\nShest’ Skazki (Six contes de fées) op. 51 nº 6 \nSergei Prokofiev (1891-1953)\nSonate pour piano nº 6 en la\, op. 82\nAllegro moderato\nAllegretto\nTempo di valzer lentissimo\nVivace \n\n\n\n\n\n\n\n  \n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\nSERGEY BELYAVSKY – BIOGRAPHIE Né à Moscou en 1993 dans une famille de musiciens\, Sergey Belyavsky a débuté le piano à l’âge de cinq ans et a depuis consacré sa vie à la musique.\nA 10 ans il donne son premier récital et l’année suivante\, il fait ses débuts avec un orchestre symphonique. Depuis lors Sergey Belyavsky n’a cessé de parcourir le monde : à 25 ans il s’était produit dans 28 pays dans les salles les plus prestigieuses. \nSergey Belyavsky a étudié à l’Ecole centrale de musique de Moscou. Diplômé avec les honneurs du Conservatoire de Moscou Tchaïkovski dans la classe du Prof. Elisso Virsaladze en 2016\, il a ensuite passé l’année 2016/17 à Tel Aviv pour étudier auprès du Prof. Arie Vardi. Pour perfectionner son talent\, il a récemment suivi une Masterclass Lev Natocheny à la HES Kalaidos. \nIl s’est produit aussi bien en soliste qu’avec des orchestres prestigieux tels Musica Viva sous la direction d’Alexander Rudin\, l’Orchestre national de Russie\, dirigé par Alexander Sladkovsky\, l’Orchestre de chambre Kremlin avec M. Rakhlevsky – tous artistes émérites de la Russie ; l’Orchestre de chambre géorgien\, Ingolstadt\, sous la direction de L. Isakadze\, artiste émérite de Géorgie\, l’Orchestre symphonique d’état de Moscou\, sous son chef principal P. Kogan\, l’Orchestre symphonique Szeged de Hongrie ; l’Orchestre symphonique de la Radio Hongroise\, l’Orchestre Symphonique d’état du Kazakhstan\, l’Orchestre Philharmonique de Kharkiv\, et l’orchestre de chambre Lviv Virtuosi d’Ukraine ; l’orchestre symphonique Tchaïkovski (direction Vladimir Fedosseiev)\, «  Artiste du peuple de l’URSS  »\, l’Orchestre symphonique del Vallès\, sous la direction d’Eduardo Portal ; la Philharmonie des Nations dirigée par Justus Frantz\, ainsi que l’Orchestre symphonique de l’Utah\, le Space Coast Symphony Orchestra\, l’Orchestre philharmonique de Malte. \nDepuis 2005\, Sergey Belyavsky s’est vu décerner des prix dans plus de 30 compétitions et festivals\, e.a. le 1er prix au Concours international de Piano Juries in Competition à Salzburg en 2019 et le 3ème prix et la médaille de bronze au Gina Bachauer Concours International de Piano à Salt Lake City en 2018. Au Concours international Chopin Asie-Pacifique à Daegu\, en Corée du Sud\, Sergey Belyavsky a remporté le prix de la meilleure Polonaise et de la meilleure Sonate. Il s’est vu attribuer le deuxième prix ainsi que le prix du public au Concours International pour Piano Liszt Ferenc à Budapest et a également obtenu le deuxième prix et le prix du public au Concours International de Musique Maria Canals de Barcelone.\nIl a également gagné le grand prix de la Muse International Music Competition en ligne à Athènes. \nSergey Belyavsky a enregistré 3 CDs\, le plus récent avec les 24 Études de Chopin. \n\n\n\n\n\n\n\n\n \n\nLes critiques ont relevé sa brillante technique et ses interprétations uniques : « Il étincelle comme un chandelier de cristal dans une salle de bal du tournant du siècle. » \n\n\n\n\n\n  URL:https://www.roseyconcerthall.ch/event/sergey-belyavsky/ LOCATION:Rosey Concert Hall\, Le Rosey\, Rolle\, 1180\, Suisse CATEGORIES:Récital de piano ATTACH;FMTTYPE=image/jpeg:https://www.roseyconcerthall.ch/wp-content/uploads/2021/06/bandeau_event_sergey_belyavsky.jpg GEO:46.4598076;6.3275569 X-APPLE-STRUCTURED-LOCATION;VALUE=URI;X-ADDRESS=Rosey Concert Hall Le Rosey Rolle 1180 Suisse;X-APPLE-RADIUS=500;X-TITLE=Le Rosey:geo:6.3275569,46.4598076 END:VEVENT BEGIN:VEVENT DTSTART;TZID=Europe/Helsinki:20220214T201500 DTEND;TZID=Europe/Helsinki:20220214T220000 DTSTAMP:20250502T174048 CREATED:20200629T135147Z LAST-MODIFIED:20220204T094550Z UID:10000220-1644869700-1644876000@www.roseyconcerthall.ch SUMMARY:LES SOLISTES DE LA MENUHIN ACADEMY AVEC RENAUD CAPUÇON DESCRIPTION:LES SOLISTES\nDE LA MENUHIN ACADEMY\navec\nRENAUD CAPUÇON\n\nPartenaire de la soirée : \n \n\nDirecteur artistique de la Menuhin Academy depuis 2 ans\, Renaud Capuçon nous offre chaque saison un concert avec ses jeunes protégés. \nComplicité et virtuosité sont les maîtres mots de cette soirée qui fait rêver public et artistes !  \nMarie-Noëlle Tirogalas  \n\nPROGRAMME \nJohann Hummel (1778-1837)\nFantaisie en sol mineur pour alto et cordes op. 94 (1820) \nSoliste : Gérard Caussé \n* \nFritz Kreisler (1875-1962)\nAlt-wiener tanzweisen (Vieux airs de danse viennois) (1905)\nSchön Rosmarin (Joli romarin) \nLiebesleid (Chagrin d’amour) \nLiebesfreud (Plaisir d’amour) \n7 Marionnettes : n°2 Poupée valsante (1890 s.) \n*\nEdward Elgar (1857-1934)\nSalut d’Amour (Liebergruss) op. 12 (1888) \nSoliste : Renaud Capuçon \n* \nFranz Schubert (1797-1828)\nQuatuor à cordes nº 14 en ré mineur D810 (1824)\nDer Tod und das Mädchen (La jeune fille et la mort)\n(Arr. pour cordes par Gustav Mahler)\nAllegro\nAndante con moto\nScherzo-allegro molto-Trio\nPresto \n©Paul Sutin\n\nRENAUD CAPUÇONNé à Chambéry en 1976\, Renaud Capuçon a commencé ses études au Conservatoire national supérieur de musique de Paris à 14 ans\, où il a reçu de nombreuses récompenses durant ses cinq années d’études. Il s’est ensuite installé à Berlin pour étudier avec Thomas Brandis et Isaac Stern et a reçu le prix de la Berliner Akademie der Künste. En 1997\, il est choisi par Claudio Abbado pour devenir Konzertmeister du Gustav Mahler Jugendorchester\, pendant trois étés\, travaillant avec des chefs comme Pierre Boulez\, Seiji Ozawa\, Franz Welser-Möst et Claudio Abbado. \nDès lors\, Renaud Capuçon s’est imposé comme soliste de très haut niveau. Il joue avec les grands orchestres : Berliner Philharmoniker\, Boston Symphony Orchestra\, Chamber Orchestra of Europe\, Filarmonica della Scala\, London Symphony Orchestra\, New York Philharmonic\, Wiener Philharmoniker\, Orchestre de Paris\, Orchestre National de France et Orchestre Philharmonique de Radio France. Il travaille avec de nombreux chefs\, tels que Daniel Barenboim\, Semyon Bychkov\, Ernő Dohnányi\, Gustavo Dudamel\, Christoph Eschenbach\, Valery Gergiev\, Bernard Haitink\, Daniel Harding\, Long Yu\, Paavo Järvi\, Andris Nelsons\, Yannick Nézet-Séguin\, François-Xavier Roth\, Lahav Shani\, Robin Ticciati\, Jaap van Zweden… \nSon engagement pour la musique de chambre l’a conduit à collaborer avec Martha Argerich\, Nicholas Angelich\, Daniel Barenboim\, Yuri Bashmet\, Yefim Bronfman\, Khatia Buniatishvili\, Hélène Grimaud\, Maria João Pires\, Daniil Trifonov\, Yo-Yo Ma et Yuja Wang\, ainsi qu’avec son frère\, le violoncelliste Gautier Capuçon. Il a ainsi notamment joué aux festivals de Berlin\, Lucerne\, Verbier\, Aix-en-Provence\, La Roque d’Anthéron\, San Sebastián\, Stresa\, Salzbourg\, Édimbourg et Tanglewood. Il a également représenté la France dans certains des événements internationaux les plus prestigieux : en 2018 il s’est produit avec Yo-Yo Ma sous l’Arc de triomphe pour la commémoration de l’Armistice en présence de plus de 70 chefs d’État ; il a par ailleurs joué au sommet du G7 à Biarritz en 2019. \nRenaud Capuçon est le directeur artistique de deux festivals : les Sommets musicaux de Gstaad\, depuis 2016\, et le Festival de Pâques d’Aix-en-Provence\, qu’il a fondé en 2013. En 2019-2020 il s’est produit avec le Symphonieorchester des Bayerischen Rundfunks\, la Filarmonica della Scala\, les Wiener Symphoniker\, l’Israel Philharmonic Orchestra\, l’Orchestre philharmonique tchèque\, le London Philharmonic Orchestra et le Chamber Orchestra of Europe. Il fera des tournées aux États-Unis avec le Budapest Festival Orchestra et assurera la création mondiale d’un concerto pour violon de Michael Jarrell avec le Tokyo Symphony Orchestra. Il se produira en récital à la Salzburger Festspiele\, au Musikverein et au Wigmore\nHall ; il jouera le cycle complet des trios de Beethoven avec Gautier Capuçon et Frank Braley et enregistrera toutes les sonates pour violon et piano de Mozart en live avec Kit Armstrong. \nRenaud Capuçon a construit une vaste discographie et enregistre exclusivement chez Erato/Warner Classics. Ses récentes parutions incluent des sonates de Bach avec David Fray\, des trios de Dvořák et de Tchaïkovski avec Lahav Shani et Kian Soltani en direct du Festival d’Aix\, les deux concerti pour violon de Bartók avec le London Symphony Orchestra et François-Xavier Roth\, un disque Brahms et Berg avec les Wiener Philharmoniker et Daniel Harding et des œuvres de musique de chambre de Debussy. Son disque Au cinéma\, comportant une sélection de musiques de films\, est sorti en octobre 2018 et a été acclamé par la critique. En 2017\, Renaud Capuçon a fondé un nouvel ensemble\, les Lausanne Soloists\, composé d’actuels et d’anciens étudiants de la Haute École de musique de Lausanne\, où il est professeur depuis 2014. Il joue le Guarneri del Gesù «Panette» (1737) qui a appartenu à Isaac Stern. Il a été nommé chevalier dans l’Ordre National du Mérite en juin 2011 et chevalier de la Légion d’honneur en mars 2016. \nGÉRARD CAUSSÉ\n\n\n\n\n\n\n\n\n\nGérard Caussé est l’un des rares altistes classiques à mener une carrière internationale de soliste. Il est\, avec Nobuko Imai\, l’une des deux plus grandes stars de l’instrument depuis William Primrose. Il joue sur un alto très ancien (1560) de Gasparo da Salo. Caussé est étroitement associé à la musique de chambre de Mozart\, qui\, selon lui\, a été le premier compositeur à réaliser le potentiel de l’alto en tant que « médiateur » entre les voix supérieures et inférieures de l’orchestre et du quatuor à cordes.\nIl joue également la musique des deux compositeurs de l’ère romantique qui ont le plus favorisé l’alto\, Hector Berlioz et Max Bruch.\nCependant\, il est aussi un champion particulier de la musique du XXe siècle\, car c’est à cette époque que l’alto s’est le plus imposé comme instrument solo. Il joue des œuvres de Bartók\, Britten\, Martinu et Stravinsky\, et des œuvres solos ont été écrites pour lui par Grisey\, Hersant\, Jolas\, Lenot\, Masson\, Nunes et Reverdy. \n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\n\nIl a participé à la création mondiale du quatuor à cordes Ainsi la nuit d’Henri Dutilleux\, communément classé avec les quatuors de Debussy et Ravel comme les plus grandes œuvres françaises de cette forme. Caussé a enregistré plus de 25 disques compacts sur les grands labels EMI\, Philips\, Erato et Deutsche Grammophon\, et a remporté le Prix de l’Académie Charles Gros\, le Prix Gabriel Fauré\, le Prix de la SACEM et le Grand Prix du Disque français. \nSon arrivée\, en octobre 2021\, à la Menuhin Academy\, s’inscrit dans une longue histoire tracée depuis quelques cinq décennies avec Yehudi Menuhin :\nEn 1970\, concert avec Yehudi Menuhin \, salle Pleyel à Paris.\nPuis\, avec l’Orchestre Sinfonia Varsovia\, sous la direction de Yehudi Menuhin\, plusieurs « Symphonie Concertante » de Mozart avec Vladimir Spivakov.\nEgalement plusieurs Jurys Internationaux présidés par Yehudi Menuhin.\nL’histoire se poursuit avec Alberto Lysy\, merveilleux violoniste\, qui reprend le flambeau de Yehudi Menuhin à la tête de la Camerata. \nUn nouveau chapitre s’ouvre donc pour lui en octobre 2021.  À l’invitation de la Menuhin Academy et de son Directeur Artistique\, Renaud Capuçon\, il vient se joindre à cette École de l’Excellence\, et à son éthique au long cours : celle de la transmission\, du partage\, de l’exigence et de l’inventivité. \n\n\n\nL'IMMA\, International Menuhin Music AcademyQuand Lord Menuhin créa en 1977 avec son disciple et ami Alberto Lysy l’International Menuhin Music Academy\, à Gstaad\, il inventait une forme toute nouvelle d’académie musicale\, sans frais de scolarité\, où les futurs solistes\, recrutés pour 3 ou 4 ans dans le monde entier après leurs études secondaires\, seraient réunis par une même passion de la musique et une même volonté de progresser\, apprendraient à jouer ensemble et à se produire en public et partageraient un même idéal humaniste de tolérance et d’ouverture au monde et aux autres. Un noyau de trois professeurs anciens élèves de Menuhin et de Lysy se chargèrent après 2009 de transmettre cette flamme et cet héritage artistique et culturel : Oleg Kaskiv reprit la direction musicale et l’enseignement du violon\, Pablo de Naverán\, celui du violoncelle\, Ivan Vukčević\, celui de l’alto. Ils ont formé quotidiennement avec la même ferveur les seize solistes qui composent l’ensemble des Menuhin Academy Soloists et qui bénéficient de l’accompagnement au piano d’Olga Sitkovetsky (de la Menuhin School dans le Surrey). Les meilleurs se présentent à des concours réputés. \nDe 2012 à 2019\, Maxim Vengerov a été le directeur artistique de l’Académie. \nEn 2015\, les solistes de l’Académie sont devenus l’orchestre résident de l’Institut Le Rosey à Rolle. \nIls y offrent des concerts publics\, participent à plusieurs festivals en Suisse et en Europe et préparent des tournées internationales. Au total une trentaine de concerts annuels. \nEn juillet 2019\, Renaud Capuçon a rejoint l’Académie pour en prendre la direction artistique et lui insuffler un élan nouveau. Il s’est adjoint un deuxième enseignant pour le violon\, Guillaume Chilemme. De prestigieuses invitations sont depuis régulièrement lancées pour organiser des master classes au Rosey Concert Hall pour chaque instrument et pour la musique de chambre. Le corps professoral s’est récemment étoffé grâce à la venue de deux autres maîtres\, Gérard Caussé pour l’alto et Clemens Hagen pour le violoncelle. \n  \nwww.menuhin.com URL:https://www.roseyconcerthall.ch/event/les-solistes-de-la-menuhin-academy-avec-renaud-capucon/ LOCATION:Rosey Concert Hall\, Le Rosey\, Rolle\, 1180\, Suisse CATEGORIES:Concert ATTACH;FMTTYPE=image/jpeg:https://www.roseyconcerthall.ch/wp-content/uploads/2021/06/bandeau_event_imma_rc.jpg GEO:46.4598076;6.3275569 X-APPLE-STRUCTURED-LOCATION;VALUE=URI;X-ADDRESS=Rosey Concert Hall Le Rosey Rolle 1180 Suisse;X-APPLE-RADIUS=500;X-TITLE=Le Rosey:geo:6.3275569,46.4598076 END:VEVENT END:VCALENDAR